Il est des labyrinthes de toutes sortes. Parmi ceux que la nature se prend à ériger, sylves étouffées de vrilles, tourbières instables, boyaux se ramifiant dans le ventre des roches ou brumes éphémères, ceux dont on ne voit pas qu’ils en sont s’avèrent probablement les plus terribles. La mer est de ceux-là.