Si Arles conserve de nombreux témoignages de ces sépultures chrétiennes, Nîmes n'en possède pratiquement aucun et les rares exemples conservés au musée ou en ville proviennent des campagnes environnantes. En effet, dès le IIème siècle apr. J.-C. la ville est entrée dans un déclin irréversible et les dernières inscriptions nîmoises datent du tout début du IIIème siècle, bien avant que le christianisme ne s'installe dans la vieille cité romaine.