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Critique de lunch


« Versailles.
Plus qu'un château, un monde.
Résidence royale, lieu de fêtes, demeure de prestige, symbole de pouvoir monarchique absolu.
Mais ses habitants ont perdu tout contact avec la réalité du monde qui les entoure.
Au sein de ce cadre unique et flamboyant s'exprime le plus grand raffinement dans le décor, la conversation, l'élégance, la musique, la gastronomie. »

Voilà une introduction qui sied à merveille à notre majestueux château, siège patrimonial du grand Roi Soleil et de sa cour.
Si l'entrée en matière comporte tous les attraits d'une lecture historique, il suffira de tourner la première page pour se rendre compte que tout ne tourne pas tout à fait rond dans ce microcosme nostalgique des années Louis XIV : rapidement les premiers anachronismes pointent le bout de leur bec pour géolocaliser Madame de Rosny, évaporée de sa partie de Colin-Maillard. S'ensuivra ensuite une découpe de cochon de lait au gramme près, d'une précision ésotérique. Ces « Roberts », valets admirables et multi-fonction, semblent dotés de pouvoirs divins... quoi de plus normal pour des serviteurs du roi, lui-même tirant ses ordres du Tout Puissant !

Le Crépuscule du Roy nous conte un peu l'histoire dans L Histoire, celle du jeune Marquis de Barberon, épris du plus beau des sentiments pour Madame de Rosny. le hic c'est qu'elle est mariée, et que leur amour doit être tenu secret... tâche rendue particulièrement ardue par la présente des Roberts, omniprésents et omniscients.
L'idée de s'échapper de leur prison dorée leur vient rapidement... mais les grilles du palais semblent protégées contre toute excursion.
La tentation est forte, très forte... que peut bien cacher une telle machination ?


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