Subissant l'arbitraire de l'administration coloniale, le prince d'une contrée d'Afrique est amené au commissariat, maltraité, et se voit imposé le délai d'une semaine pour présenter sa carte d'identité aux autorités coloniales, lui qui pourtant est connu de tous. Mêlant l'ironie et le fantastique, la perte de ce document équivaut alors à la perte de son nom, de son identité, de sa maison, jusqu'à son existence et à sa vie même.
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