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Critique de Zazaboum


Ce 8ème tome des enquêtes du Département V ne sera pas mon préféré ! C'est même celui que j'aime le moins !

Comme tous les lecteur(e)s assidu(e)s de cette série j'attendais avec impatience de savoir qui est réellement Assad, qu'elle avait été sa vie précédente. Il était bien évident qu'il n'était pas un terroriste sinon il n'aurait pas été autant couvert par leur chef Lars Bjorn.

Adler-Olsen a utilisé l'actualité catastrophique des migrants qui meurent en traversant la Méditerranée et ce dans la plus grande indifférence des états et des citoyens de d'Europe, Assad venant du Moyen-Orient.

Il a su décrire le drame que vivent ces personnes désespérées au point de fuir leur pays. Mais là où j'ai commencé à être très mitigée, en fait au tout début, c'est avec Joan, le journaliste espagnol qui n'est absolument pas crédible ! D'idiot qu'il est dès son apparition il devient comme par miracle le super détective qui peut se précipiter à Chypre, approcher la scène de désolation sur la plage, entrer dans un camp et rencontrer les réfugiées sur simple demande, etc…

J'ai été très contente de retrouver Rose avec un peu de sa ténacité, sans elle le Département V manque vraiment de truculente consistance, même si l'humour est peu présent dans ce livre et on comprend pourquoi.

Assad souffre et montre des faiblesses qu'il n'avait jamais dévoilées. Carl Morck quant à lui est d'une inconsistance atterrante !

Les situations absurdes et invraisemblables s'enchaînent inlassablement mais j'ai malgré tout continué ma lecture sans entrain, car j'aime les polars de Jussi Adler-Olsen et que je ne pouvais pas le lâcher sur ce que j'ai estimé être sa première faiblesse d'écriture.

J'ai malgré tout mis 3 étoiles car j'ai un petit faible pour toute l'équipe du Département V !

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