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Critique de Bouvy
Nana est toujours prisonnière dans son body de cuir comme lors de la fin du 7e épisode. Kaoru lui a fermé la bouche, lui a posé un bandeau sur les yeux et lui a bouché les oreilles. Nana est prisonnière d'elle même, seul le sens du touché la raccorde encore avec le monde extérieur. Kaoru ose lui toucher la poitrine. Emu de ce premier contact charnel avec les seins de Nana, il pleure d'émotion et profite de la surdité passagère de Nana pour lui avouer son amour pour elle. Il se promet de lui dire à quel point il l'aime quand son amie sera libérée mais encore une fois, sa timidité maladive le laissera muet. Des amis a Nana qui ont toujours besoin d'elle pour résoudre leurs problèmes entre de force chez Kaoru, en pleine séance de bondage avec Nana et manque de découvrir leurs jeux érotiques. Kaoru, cachant Nana comme il le peut, se fâche et leur demande de laisser Nana tranquille et qu'ils apprennent à se débrouiller. le lendemain, Nana participe à une compétition sportive interscolaire. Elle va devoir affronter Tachi, de qui elle est jalouse, la compétition s'annonce serrée. ...
Je viens de recevoir mon iPad Pro et le 8e épisode de cette saga était l'occasion de tester la lecture de bandes dessinées sur cette gigantesque tablette. L'effet est saisissant. le dessin rend bien, la lecture est vraiment confortable. Les pages sont pratiquement dans la dimension d'un format A4 et la tablette, malgré sa taille, ne pèse pas trop lourd.
Bref, après cette remarque technique, c'est avec plaisir que je retrouve les deux complices de cette série. Bien qu'ils ont tendance à m'agacer avec leurs hésitations à enfin se dire je t'aime. On sent bien que les sentiments qu'ils éprouvent l'un pour l'autre sont de plus en plus fort. Au-delà du bondage, nous sombrons dans le romantisme. Kaoru est parfois énervant car j'ai l'impression que c'est lui qui détient les clefs de leur bonheur. Après un début relativement érotique, nous retrouvons nos personnages dans leur vie de lycéen, comme c'est souvent le thème principal dans la plupart des mangas. (Enfin, dans le peu que j'en ai lu.) Nana est toujours aussi jolie, il faut avouer que c'est elle qui éclaire beaucoup cette série à l'érotisme bon enfant. Je me demande pourquoi sur la couverture c'est écrit +18 ans.
Enfin, la fin de ce tome nous annonce une chaude compétition entre Nana et Tachi avec pour enjeu la prochaine séance de détente comme nos héros nomment les "gentilles" séance de bondage.
Le prochain épisode qui s'annonce prometteur (mais ?) en février 2016.
Je viens de recevoir mon iPad Pro et le 8e épisode de cette saga était l'occasion de tester la lecture de bandes dessinées sur cette gigantesque tablette. L'effet est saisissant. le dessin rend bien, la lecture est vraiment confortable. Les pages sont pratiquement dans la dimension d'un format A4 et la tablette, malgré sa taille, ne pèse pas trop lourd.
Bref, après cette remarque technique, c'est avec plaisir que je retrouve les deux complices de cette série. Bien qu'ils ont tendance à m'agacer avec leurs hésitations à enfin se dire je t'aime. On sent bien que les sentiments qu'ils éprouvent l'un pour l'autre sont de plus en plus fort. Au-delà du bondage, nous sombrons dans le romantisme. Kaoru est parfois énervant car j'ai l'impression que c'est lui qui détient les clefs de leur bonheur. Après un début relativement érotique, nous retrouvons nos personnages dans leur vie de lycéen, comme c'est souvent le thème principal dans la plupart des mangas. (Enfin, dans le peu que j'en ai lu.) Nana est toujours aussi jolie, il faut avouer que c'est elle qui éclaire beaucoup cette série à l'érotisme bon enfant. Je me demande pourquoi sur la couverture c'est écrit +18 ans.
Enfin, la fin de ce tome nous annonce une chaude compétition entre Nana et Tachi avec pour enjeu la prochaine séance de détente comme nos héros nomment les "gentilles" séance de bondage.
Le prochain épisode qui s'annonce prometteur (mais ?) en février 2016.
