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Critique de LeMondeDeMarieD
Frishta Amini, afghane nous partage son histoire. Celle d'une jeune femme afghane au pays des talibans depuis la chute de Kaboul le 15 aout 2021. Alors qu'elle était esthéticienne employée dans l'un des derniers salons de beauté de la capitale Afghane, son pays bascule sous le joute des talibans. Malgré cela le salon continuera à recevoir ses clientes dans une demi-clandestinité pour un temps tout au moins....
Ce récit temoigne de la condition féminine en Afghanistan de nos jours.
Si ces 20 dernières années n'étaient pas aussi libertaire qu'en occident, elles n'étaient plus sous l'obscurantisme qu'à connu l'Afghanistan avant 2001.
Mais voilà que le départ des États-Unis renforce le pouvoir des talibans et leur grand retour pour le malheur des femmes afghanes et même de tout les afghans. Un retour en arrière maudit.
J'ai toujours été sensibles à la condition féminine des femmes vivant en Afghanistan depuis les années 90 où j'ai découvert leur oppression puis leur espoir suite à l'occupation des États-Unis en 2001. Et chaque 8 mars j'ai une pensée particulière pour ces femmes qui tentent de vivre et de survivre sous cette soumission.
Je me souviens de ce mois d'août 2021, et j'ai pleuré cette souffrance qui, de nouveau, allait les envahir avec cet obscurantisme qui revient dans leur vie.
Aujourd'hui, Frishta, est réfugiée à Paris aidée par deux journalistes d'"envoyé spécial" qu'elle a eu la chance de croiser sur son chemin lors d'un reportage. Ce reportage que j'ai découvert il y a quelques mois déjà et qui confirmait ce que j'avais malheureusement pressenti lors de ce terrible 15 août.
C'est son récit de vie, son témoignage qu'elle raconte ici.
Pas de grandes phrases ou de grande littérature, juste des mots qui disent la souffrance, l'injustice, la guerre, la peur, la colère. C'est direct. C'est dur. C'est inconcevable. C'est réel.
Le 08 mars c'est la journée internationale des droits des femmes. Malheureusement pour certaines ces mots n'ont pas de sens, ils sont invisibles, sans existence, sans âme, à l'image de la femme afghane...😢
Ce récit temoigne de la condition féminine en Afghanistan de nos jours.
Si ces 20 dernières années n'étaient pas aussi libertaire qu'en occident, elles n'étaient plus sous l'obscurantisme qu'à connu l'Afghanistan avant 2001.
Mais voilà que le départ des États-Unis renforce le pouvoir des talibans et leur grand retour pour le malheur des femmes afghanes et même de tout les afghans. Un retour en arrière maudit.
J'ai toujours été sensibles à la condition féminine des femmes vivant en Afghanistan depuis les années 90 où j'ai découvert leur oppression puis leur espoir suite à l'occupation des États-Unis en 2001. Et chaque 8 mars j'ai une pensée particulière pour ces femmes qui tentent de vivre et de survivre sous cette soumission.
Je me souviens de ce mois d'août 2021, et j'ai pleuré cette souffrance qui, de nouveau, allait les envahir avec cet obscurantisme qui revient dans leur vie.
Aujourd'hui, Frishta, est réfugiée à Paris aidée par deux journalistes d'"envoyé spécial" qu'elle a eu la chance de croiser sur son chemin lors d'un reportage. Ce reportage que j'ai découvert il y a quelques mois déjà et qui confirmait ce que j'avais malheureusement pressenti lors de ce terrible 15 août.
C'est son récit de vie, son témoignage qu'elle raconte ici.
Pas de grandes phrases ou de grande littérature, juste des mots qui disent la souffrance, l'injustice, la guerre, la peur, la colère. C'est direct. C'est dur. C'est inconcevable. C'est réel.
Le 08 mars c'est la journée internationale des droits des femmes. Malheureusement pour certaines ces mots n'ont pas de sens, ils sont invisibles, sans existence, sans âme, à l'image de la femme afghane...😢
