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Critique de manolle
Séduite par le résumé de ce roman mêlant à la fois fantasy, espionnage et aventure, je m'y suis plongée avec curiosité et je ne regrette pas mon choix.
La Confrérie des Effraies est une aventure dans un monde alternatif, dans un pays nommé Lacustre. Dès les premières pages, la mission du héros nous est dévoilée : espionner, infiltrer la Confrérie, une bande de criminels insaisissables. Il va devoir cultiver l'art de la dissimulation et ça ne sera pas facile.
Pas de temps mort, on est happé dans une histoire qui va crescendo. On assiste à des combats qui mélangent réalisme et surnaturel. On est immergé dans un environnement sombre, sans pitié.
Au fil du texte, on s'attache aux personnages, qui ont tous une personnalité et des capacités bien distinctes. On rencontrera ainsi : la femme taciturne au caractère bien trempé, le vieillard alcoolique, la jeune fille espiègle, l'épéiste formidable, le menteur aux mille visages, le jeune bègue charmeur d'animaux… D'ailleurs, on n'oubliera pas non plus Diogène le chien ou Alba la chouette.
Les styles sont variés : soutenu/normal/argotique/poétique/humoristique. Ils sont parfaitement maîtrisés et ne souffrent d'aucune approximation ! Beaucoup de descriptions sont très belles et marquantes (le ciel halluciné, à la fin…). Quelques néologismes amusants apparaissent également et différents clins d'oeil (Clomillie de Rodhel).
Ce que j'ai beaucoup apprécié aussi, ce sont les questionnements sur le pouvoir, la puissance, la domination ou l'emprise sur l'esprit d'autrui. Autant de réflexions qui sont intemporelles. Enfin, l'auteur fait une belle place aux femmes, ce qui mérite d'être soulevé.
En résumé, j'ai passé un très bon moment de lecture en compagnie des Effraies à qui je souhaite bon vent !
La Confrérie des Effraies est une aventure dans un monde alternatif, dans un pays nommé Lacustre. Dès les premières pages, la mission du héros nous est dévoilée : espionner, infiltrer la Confrérie, une bande de criminels insaisissables. Il va devoir cultiver l'art de la dissimulation et ça ne sera pas facile.
Pas de temps mort, on est happé dans une histoire qui va crescendo. On assiste à des combats qui mélangent réalisme et surnaturel. On est immergé dans un environnement sombre, sans pitié.
Au fil du texte, on s'attache aux personnages, qui ont tous une personnalité et des capacités bien distinctes. On rencontrera ainsi : la femme taciturne au caractère bien trempé, le vieillard alcoolique, la jeune fille espiègle, l'épéiste formidable, le menteur aux mille visages, le jeune bègue charmeur d'animaux… D'ailleurs, on n'oubliera pas non plus Diogène le chien ou Alba la chouette.
Les styles sont variés : soutenu/normal/argotique/poétique/humoristique. Ils sont parfaitement maîtrisés et ne souffrent d'aucune approximation ! Beaucoup de descriptions sont très belles et marquantes (le ciel halluciné, à la fin…). Quelques néologismes amusants apparaissent également et différents clins d'oeil (Clomillie de Rodhel).
Ce que j'ai beaucoup apprécié aussi, ce sont les questionnements sur le pouvoir, la puissance, la domination ou l'emprise sur l'esprit d'autrui. Autant de réflexions qui sont intemporelles. Enfin, l'auteur fait une belle place aux femmes, ce qui mérite d'être soulevé.
En résumé, j'ai passé un très bon moment de lecture en compagnie des Effraies à qui je souhaite bon vent !
