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Critique de Yvan_T
Le cinquième tome marquait la fin d'un premier cycle, intimement lié à l'autre série d'Andreas, "Rork". Ce sixième tome constitue un tournant au sein de la saga et permet à Andreas de tourner la page "Rork" pour se concentrer sur Capricorne.
La rupture se fait notamment au niveau des personnages, avec un tome qui se concentre sur Capricorne et délaisse les autres personnages du cycle précédent, mais également au niveau du décor. le récit s'éloigne ainsi de la ville de New York et du building de Capricorne et propose une revisite des camps de concentration nazis.
La rupture n'est évidemment pas totale et cet album permet de retrouver quelques éléments familiers, dont cette mystérieuse organisation, nommée le Concept. C'est elle qui est à l'origine de la rafle de tous les individus liés au paranormal (voyants, astrologues, chiromanciens, médiums, etc) et qui permet à Andreas de dénoncer ce régime totalitaire qui réfère clairement au nazisme.
Au niveau du graphisme, Andreas joue moins avec les cadrages et la mise en images et se concentre surtout sur l'ambiance oppressante de ce camp de concentration.
Un nouveau cycle, qui rompt avec le précédent, et un album à la fin très ouverture, qui rend difficile de prévoir ce que la suite nous réserve.
La rupture se fait notamment au niveau des personnages, avec un tome qui se concentre sur Capricorne et délaisse les autres personnages du cycle précédent, mais également au niveau du décor. le récit s'éloigne ainsi de la ville de New York et du building de Capricorne et propose une revisite des camps de concentration nazis.
La rupture n'est évidemment pas totale et cet album permet de retrouver quelques éléments familiers, dont cette mystérieuse organisation, nommée le Concept. C'est elle qui est à l'origine de la rafle de tous les individus liés au paranormal (voyants, astrologues, chiromanciens, médiums, etc) et qui permet à Andreas de dénoncer ce régime totalitaire qui réfère clairement au nazisme.
Au niveau du graphisme, Andreas joue moins avec les cadrages et la mise en images et se concentre surtout sur l'ambiance oppressante de ce camp de concentration.
Un nouveau cycle, qui rompt avec le précédent, et un album à la fin très ouverture, qui rend difficile de prévoir ce que la suite nous réserve.
