Je viens d'écrire quelques lignes pour le challenge Nobel relancé par Meps, tant qu'à faire je les colle ici :
Vraiment un livre au ton (pour moi) original et qui donne à penser, tout en pouvant se lire comme un récit prenant. Un récit, en effet, et non une suite de récits. J'avais écrit ici que j'aimais bien les livres dont le héros était un immeuble (surtout celui de Perec), mais Andric m'a appris qu'un pont pouvait aussi l'être. Et, des décennies avant les dernières guerres balkaniques, il donne des éclairages pour les lire différemment.
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