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Critique de bdelhausse
L'entame du tome est particulièrement réussie et intrigante. Guillaume se réveille et il est redevenu un enfant normal. Il divague, essaie de lancer des sorts, tente de persuader ses amis que quelque chose ne va pas... et derrière la porte qui ouvre le portail... des balais et un seau. C'est normal, c'est un placard à balais... Désespérant pour Guillaume.
Malheureusement pour le lecteur, qui va désespérer autant que Guillaume, le secret fait long feu et on apprend assez vite le pourquoi du comment. Un peu tiré par les cheveux, d'ailleurs. On a connu Ange plus inspiré.
Au passage, le seul point positif est d'apprendre comment Guillaume est devenu élève au Collège Invisible. Mais c'est tellement ubuesque que cela n'apporte rien au récit. Par contre, on aurait pu (c'est assez coutumier) avoir un tome complet consacré aux débuts de Guillaume dans le Collège. Tant pis.
Guillaume ne rate plus de sorts. C'est inédit. Et les autorités du Collège lui font confiance pour détourner le grand méchant du tome, alors qu'il s'apprête à dévorer la terre. Vu qu'il s'agit d'un monstre associé aux Grands Anciens (en l'occurrence F'taghn), on peut avoir peur à juste titre.
Il doit attirer le monstre et sacrifier un autre plan... sur lequel il trouve qui donc? Les Drims. eh oui. Quand un auteur est en panne d'inspiration, il reprend ses fondamentaux. Sauf que l'on ne reconnaît plus les Drims et que Guillaume accepte de les détruire assez facilement.
Le tout se termine dans une panade pas possible. le manque de scénario, le chaos du récit, est accru par l'insuffisance de la plume de Ghorbani. Soyons clair, Ghorbani n'est pas un mauvais dessinateur. C'est juste qu'il ne satisfait pas ici. Là où Donsimoni faisait un dessin plein et rond, dynamique, Ghorbani dessine de manière hachurée, angulaire et sèche. Cela ne va pas.
Bref, comment couler une bonne série en 2 tomes... 8 et 9... C'est fait.
Malheureusement pour le lecteur, qui va désespérer autant que Guillaume, le secret fait long feu et on apprend assez vite le pourquoi du comment. Un peu tiré par les cheveux, d'ailleurs. On a connu Ange plus inspiré.
Au passage, le seul point positif est d'apprendre comment Guillaume est devenu élève au Collège Invisible. Mais c'est tellement ubuesque que cela n'apporte rien au récit. Par contre, on aurait pu (c'est assez coutumier) avoir un tome complet consacré aux débuts de Guillaume dans le Collège. Tant pis.
Guillaume ne rate plus de sorts. C'est inédit. Et les autorités du Collège lui font confiance pour détourner le grand méchant du tome, alors qu'il s'apprête à dévorer la terre. Vu qu'il s'agit d'un monstre associé aux Grands Anciens (en l'occurrence F'taghn), on peut avoir peur à juste titre.
Il doit attirer le monstre et sacrifier un autre plan... sur lequel il trouve qui donc? Les Drims. eh oui. Quand un auteur est en panne d'inspiration, il reprend ses fondamentaux. Sauf que l'on ne reconnaît plus les Drims et que Guillaume accepte de les détruire assez facilement.
Le tout se termine dans une panade pas possible. le manque de scénario, le chaos du récit, est accru par l'insuffisance de la plume de Ghorbani. Soyons clair, Ghorbani n'est pas un mauvais dessinateur. C'est juste qu'il ne satisfait pas ici. Là où Donsimoni faisait un dessin plein et rond, dynamique, Ghorbani dessine de manière hachurée, angulaire et sèche. Cela ne va pas.
Bref, comment couler une bonne série en 2 tomes... 8 et 9... C'est fait.
