>
Critique de magalette
Suite de mes pérégrinations dans la collection « Hanté » de Casterman ! Et encore une bonne pioche !
Cette fois-ci, mon fils, 13 ans, a choisi pour moi en me disant : « C'est mon préféré de la collection ! » Moi et les poupées, c'est pas gagné... C'est cucul, mièvre, d'un autre temps. Et les Chucky, Annabelle et consoeurs, ça me laisse un peu dubitative... Donc, me voilà avec Rosemonde sur les bras ! Achetée par Margot, 11 ans dans un vide grenier avec sa grande soeur Thaïs, Rosemonde est une poupée porcelaine vintage de base. Margot en est vite folle au point de la traiter comme une vraie petite personne, d'en délaisser toute sa famille, notamment Thaïs dont elle était auparavant si proche et d'en devenir même agressive quand son petit frère la malmène. Un climat tendu s'installe de jour dans la maison familiale. La nuit, c'est encore pire puisque d'étranges sanglots puis des bruits de pas dans le couloir ainsi qu'une étrange présence viennent hanter les nuits de Thaïs. Margot, elle, dort d'un sommeil de plomb, la poupée lovée dans les bras, mais le pouls ralenti, le corps glacé, le visage blême. Thaïs fera tout son possible pour sauver sa soeur des griffes de porcelaine. Une histoire basique et certes déjà lue pour des publics expérimentés mais une fin digne des plus célèbres nouvelles à chute qui nous inciterait presque à relire toute l'histoire. Bravo à l'autrice pour l'ingénuité de ce turn-over qui risque de marquer les plus jeunes et de les laisser le souffle court !
Cette fois-ci, mon fils, 13 ans, a choisi pour moi en me disant : « C'est mon préféré de la collection ! » Moi et les poupées, c'est pas gagné... C'est cucul, mièvre, d'un autre temps. Et les Chucky, Annabelle et consoeurs, ça me laisse un peu dubitative... Donc, me voilà avec Rosemonde sur les bras ! Achetée par Margot, 11 ans dans un vide grenier avec sa grande soeur Thaïs, Rosemonde est une poupée porcelaine vintage de base. Margot en est vite folle au point de la traiter comme une vraie petite personne, d'en délaisser toute sa famille, notamment Thaïs dont elle était auparavant si proche et d'en devenir même agressive quand son petit frère la malmène. Un climat tendu s'installe de jour dans la maison familiale. La nuit, c'est encore pire puisque d'étranges sanglots puis des bruits de pas dans le couloir ainsi qu'une étrange présence viennent hanter les nuits de Thaïs. Margot, elle, dort d'un sommeil de plomb, la poupée lovée dans les bras, mais le pouls ralenti, le corps glacé, le visage blême. Thaïs fera tout son possible pour sauver sa soeur des griffes de porcelaine. Une histoire basique et certes déjà lue pour des publics expérimentés mais une fin digne des plus célèbres nouvelles à chute qui nous inciterait presque à relire toute l'histoire. Bravo à l'autrice pour l'ingénuité de ce turn-over qui risque de marquer les plus jeunes et de les laisser le souffle court !
