>
Critique de zagzaguel
C'est un manoir qui est là depuis longtemps. On dit qu'il est hanté, qu'il s'y est passé des choses bizarres, qu'une fillette à disparu, que sa mère s'est jetée par la fenêtre. Et que depuis, les bulldozers ne peuvent pas la démolir. Alors, la maison reste et attise encore plus l'imagination...
Quand Maïa, Blanche, Maxence et Milo s'approchent et cherchent à y entrer, ils n'imaginent pas les aventures, le pétrin dans lequel ils s'embarquent.
REVI3NS est une histoire à 4 voix, celle des quatre ados qui, chacun leur tour, apportent leurs impressions sur cette maison, leurs ressentis sur les évènements étranges qu'ils vivent et subissent. mais aussi les secrets que chacun garde de peur de moqueries de leurs amis. On frissonne avec eux, on finit par s'attacher à eux et on devient malgré soi le cinquième copain qui voit sans pouvoir intervenir la fin inéluctable.
Car lorsque l'on lit les remerciements qu'Amélie Antoine a écrits, on se rend compte que Stephen King est mentionné en premier, et cela n'augure rien de bon. Car oui cette fois, il n'y aura pas de happy ending même si ce livre est destiné à un publique jeune. Et puis, régulièrement les enfant veulent du frisson et de quoi avoir peur, ils seront servis. Ca fait peur, juste assez...
Merci à Babélio et aux édition Magnard Jeunesse pour cette exquise découverte. A partir de 10 ou 11 ans pour une lecture autonome.
Quand Maïa, Blanche, Maxence et Milo s'approchent et cherchent à y entrer, ils n'imaginent pas les aventures, le pétrin dans lequel ils s'embarquent.
REVI3NS est une histoire à 4 voix, celle des quatre ados qui, chacun leur tour, apportent leurs impressions sur cette maison, leurs ressentis sur les évènements étranges qu'ils vivent et subissent. mais aussi les secrets que chacun garde de peur de moqueries de leurs amis. On frissonne avec eux, on finit par s'attacher à eux et on devient malgré soi le cinquième copain qui voit sans pouvoir intervenir la fin inéluctable.
Car lorsque l'on lit les remerciements qu'Amélie Antoine a écrits, on se rend compte que Stephen King est mentionné en premier, et cela n'augure rien de bon. Car oui cette fois, il n'y aura pas de happy ending même si ce livre est destiné à un publique jeune. Et puis, régulièrement les enfant veulent du frisson et de quoi avoir peur, ils seront servis. Ca fait peur, juste assez...
Merci à Babélio et aux édition Magnard Jeunesse pour cette exquise découverte. A partir de 10 ou 11 ans pour une lecture autonome.
