AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Alfaric


A l'image de son idole Stephen King, Hirohiko Araki est sans doute passé de l'horreur pure et dure au fantastique plus au moins onirique, mais il n'est jamais aussi fort que quand il retrouve sa zone le confort : la cavale hitchcockienne associée à mind game machiavélique, ce qui nous donne des escape games hallucinés et hallucinants !
Dans ce tome 10 la quête du fruit de guérison continue, et la belle Yasuho et le petit travesti Tsurugi filent le dénommé Aishô Dainenjiyama qui travaille au stade de Morio. Ils découvrent non seulement que ledit fruit échange une bénédiction contre une malédiction (remember le principe de l'échange équivalent de "Fullmetat Alchemist" ^^), voyant ainsi un vieillard retrouver sa jambe pour perdre ses yeux, mais aussi qu'il le fruit d'un juteux business mafieux... le duo est pris en chasse par le dealer de miracles qui lance à leurs trousse son « horla » Doobie Wah !, un tourbillon aveugle déchiquetant la matière en fonction de sa taille et de sa force dépendantes elles-mêmes du nombre de respirations de ses proies qu'il repère à leur souffle ! le piège est d'autant plus diabolique que ce stand n'a pas portée, donc que la seule manière de s'en débarrasser est de vaincre son propriétaire... Et force est de constater que la victoire est remportée de manière fort astucieuse, puisqu'avec son pouvoir de manipulation de la réalité à courte portée Yasuho gagne du temps pour que Tsurugi puisse SPOILER

Je ne lâche pas les étoiles parce que le background de ce nouvel arc de la saga est trop baroque et trop bizarre pour moi, surtout avec ses flashbacks / flashforwards qui nourrissent des mystères lostiens bien chelous
Commenter  J’apprécie          240



Ont apprécié cette critique (24)voir plus




{* *}