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Critique de Alfaric


Le problème avec le mangaka Hirohiko Araki, c'est qu'il a trop d'imagination pour suivre une ligne directrice claire au-delà de quelques tomes… Donc les mystères s'enchaînent et s'ils ne sont pas incohérents entre eux ils ne sont pas non plus raccords entre eux. Ici après le mystère des murs qui voient, le mystère de la malédiction de pierre voici le mystère du fruit de l'échange équivalent ! Et après les hommes-rochers qui se faisaient un pognon de dingues avec les miracles médicaux du rokakaka voici la société secrète qui veut prospérer grâce au business de l'immortalité… C'est donc une course contre la montre entre la Team Josuke et les nouveaux super-vilains, et elle passe par le botaniste surdoué et excentrique Rai Mamezuku...

Le problème avec ce tome c'est qu'il commence fort avec la fin de la partie zombie du "Lagon bleu de Dolomites" où quand tout semble gagné tout est perdu et quand tout semble perdu tout est gagné, qu'il finit fort avec le début de la partie télésiège de "Rai Mamezuku, botaniste (31 ans)"…
Entre ces deux moments le mangaka parvient quand même à faire le lien :
- grâce au droit de quota de flashbacks, on nous montre pourquoi la matriarche de la famille Higashitaka a passé 15 ans en prison… car elle a endossé le meurtre commis par son fils le jour où il a découvert son stand, et qu'il a tué son harceleur qui voulait l'obliger à tuer la seule personne qui l'avait jamais défendu (décidément le scoutisme semble attirer un nombre incroyable de pervers)
- comme on passe à la moulinette l'arc précédent "Diamond Is Unbreakable", on nous mène en bateau en nous faisant croire à un nouveau remake du film d'action "Speed"… Oui mais non, on passe directement à la un remake de « l’homme du pylône électrique » !
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