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Critique de adeline80
On était habitué, avec Arleston, à de l'humour, même concentré sur qu'un ou deux personnages.
Ici, le récit est sombre, cruel. L'auteur ne fait pas de cadeau à Sandre l'héroïne de l'histoire. Il lui arrive malheur sur malheur. Tout démarre avec le meurtre de son père et de son frère qui se produit sous ses yeux par une bande d'écumeurs accompagné par un lignat, sorte de magicien qui permet à ces mercenaires de voyager facilement d'un endroit à un autre sans se faire repérer. Sangre est alors accueilli au magistre, un lieu où elle n'est pas la bienvenu pour tous car ces une sorte de couvent où les filles des plus riches du pays reçoivent leur éducation.
Le dessin de Floch reste fidèle à ce qu'il a pu faire dans Les Naufragès d'Ithaque. On retrouve un peu moins le fan-service propre aux éditions Soleil que l'on pourrait retrouver chez les auteurs illustrateurs qui accompagnent Arleston. Pour moi, il s'agit d'une série d'Arleston à lire, sans plus.
Ici, le récit est sombre, cruel. L'auteur ne fait pas de cadeau à Sandre l'héroïne de l'histoire. Il lui arrive malheur sur malheur. Tout démarre avec le meurtre de son père et de son frère qui se produit sous ses yeux par une bande d'écumeurs accompagné par un lignat, sorte de magicien qui permet à ces mercenaires de voyager facilement d'un endroit à un autre sans se faire repérer. Sangre est alors accueilli au magistre, un lieu où elle n'est pas la bienvenu pour tous car ces une sorte de couvent où les filles des plus riches du pays reçoivent leur éducation.
Le dessin de Floch reste fidèle à ce qu'il a pu faire dans Les Naufragès d'Ithaque. On retrouve un peu moins le fan-service propre aux éditions Soleil que l'on pourrait retrouver chez les auteurs illustrateurs qui accompagnent Arleston. Pour moi, il s'agit d'une série d'Arleston à lire, sans plus.
