Cet exposé méthodique des formes syllogistiques telles que découvertes par
Aristote constitue une lecture d'une souffrance sans nom, entre archaïsmes linguistiques baroques, grammaire algébrique, et exemples systématiquement réciproques.
Une somme à aborder pleinement aguerri, et plus comme le témoin d'un siècle, en terme d'idées, remarquables, qu'en tant qu'ouvrage d'apprentissage de "l'Art de penser".
Pour les benêts comme moi, savourez donc :
Plus il y a de gruyère, plus il y a de trous.
Plus il y a de trous, moins il y a de Gruyère.
Donc plus il y a de Gruyère, moins il y a de gruyère...
PS : en plus d'une composition compacte, en petit caractère, le texte est reproduit par photomécanique, un procédé qui ne facilite en rien la lecture de ce céleste lingot de plomb.
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