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Critique de florencem
Un tome qui nous emmène directement vers les choses sérieuses, et la tension est palpable du début à la fin de ce dixième volume. de quoi effacer les déboires précédents et c'est tant mieux parce qu'il aurait été dommage de relire cette saga et d'en garder un souvenir mitigé.
Le match opposant l'équipe de Kouzu aux anciens camarades de classe de Tachibana se poursuit. Bien qu'il y ait eu une petite tension au début, on sent que les garçons sont à leur meilleur niveau et que l'esprit d'équipe est clairement là. La fluidité dans leur jeu est assez impressionnante et ils donnent l'impression d'avoir joué ensemble depuis des années. Moi qui adore voir cela, j'étais plus que ravie. Jusqu'à un certain événement. Hitonari est décontenancé par le fait que Tachibana anticipe et rattrape toutes les passes de ce dernier. On sent que le jeune homme doute. Au début je n'ai pas vraiment compris ce qu'Hiroyuki Asada essayait de nous faire passer puis... on voit que Tachibana s'améliore de jour en jour. Et ici, il dépasse Hiiragi mais le jeu d'Akane est aussi trop en dent de scie. Il n'a pas toujours le même niveau sur le terrain... Et c'est dans sa personnalité, il ne s'en rend même pas compte d'ailleurs. Mais c'est autant un atout d'un handicap si on y regarde de plus près.
Ce doute s'installe progressivement, et je ne dirais pas que l'on ressent un malaise, mais c'est un peu comme découvrir le point faible de quelqu'un qui va partir en guerre. Un quitte ou double que Minefuji va tenter de pallier. Et franchement, j'adore de plus en plus I'll car même si je ne comprends pas tout, nous entrons dans une phase hyper importante pour tous les personnages et le mangaka en profite pour être plus technique. On voit de la stratégie, des termes techniques, des adversaires de plus en plus forts... de quoi rendre la lecture des plus palpitantes. Et j'adore !!
Beaucoup de points positifs donc dans ce tome, même si je l'avoue, le match contre Hayamazaki me fait peur… Je ne sais pas comment il va se terminer, mais je me dis que même s'il reste encore quatre tomes, une défaite est totalement possible. Il serait intéressant de les voir rebondir par la suite car ce serait une énorme déception, mais j'ai envie de les voir aller jusqu'au bout, même si bien entendu cela donnerait une fin plutôt… pas utopique, mais facile, un peu comme dans les shonen classique où l'on sait que le héros finira toujours pas vaincre.
Un petit mot sur les moments très mignons qui sont disséminés un peu tout le long du tome. Ce sont de petits rien que je trouve adorables et qui en plus beaucoup. Par contre, toujours pas fan des interventions de Sumire qui sont pour moi des répétitions qui apportent trop de nostalgie et un brin de pathos, derrière un genre poétique qui se fait lourd.
Le match opposant l'équipe de Kouzu aux anciens camarades de classe de Tachibana se poursuit. Bien qu'il y ait eu une petite tension au début, on sent que les garçons sont à leur meilleur niveau et que l'esprit d'équipe est clairement là. La fluidité dans leur jeu est assez impressionnante et ils donnent l'impression d'avoir joué ensemble depuis des années. Moi qui adore voir cela, j'étais plus que ravie. Jusqu'à un certain événement. Hitonari est décontenancé par le fait que Tachibana anticipe et rattrape toutes les passes de ce dernier. On sent que le jeune homme doute. Au début je n'ai pas vraiment compris ce qu'Hiroyuki Asada essayait de nous faire passer puis... on voit que Tachibana s'améliore de jour en jour. Et ici, il dépasse Hiiragi mais le jeu d'Akane est aussi trop en dent de scie. Il n'a pas toujours le même niveau sur le terrain... Et c'est dans sa personnalité, il ne s'en rend même pas compte d'ailleurs. Mais c'est autant un atout d'un handicap si on y regarde de plus près.
Ce doute s'installe progressivement, et je ne dirais pas que l'on ressent un malaise, mais c'est un peu comme découvrir le point faible de quelqu'un qui va partir en guerre. Un quitte ou double que Minefuji va tenter de pallier. Et franchement, j'adore de plus en plus I'll car même si je ne comprends pas tout, nous entrons dans une phase hyper importante pour tous les personnages et le mangaka en profite pour être plus technique. On voit de la stratégie, des termes techniques, des adversaires de plus en plus forts... de quoi rendre la lecture des plus palpitantes. Et j'adore !!
Beaucoup de points positifs donc dans ce tome, même si je l'avoue, le match contre Hayamazaki me fait peur… Je ne sais pas comment il va se terminer, mais je me dis que même s'il reste encore quatre tomes, une défaite est totalement possible. Il serait intéressant de les voir rebondir par la suite car ce serait une énorme déception, mais j'ai envie de les voir aller jusqu'au bout, même si bien entendu cela donnerait une fin plutôt… pas utopique, mais facile, un peu comme dans les shonen classique où l'on sait que le héros finira toujours pas vaincre.
Un petit mot sur les moments très mignons qui sont disséminés un peu tout le long du tome. Ce sont de petits rien que je trouve adorables et qui en plus beaucoup. Par contre, toujours pas fan des interventions de Sumire qui sont pour moi des répétitions qui apportent trop de nostalgie et un brin de pathos, derrière un genre poétique qui se fait lourd.
