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Critique de Nadouch
Il y a du Fahrenheit 451 dans l'air. Les livres sont interdits, presque tous ont disparu, les rares restants passent par un comité de censure, pour lequel travaille le narrateur... Qui va être embarqué un peu malgré lui dans la lutte contre le régime totalitaire en place, pour la réhabilitation d'un peuple banni...
Les métaphores et clins d'oeil historiques sont évidemment bien visibles, quoiqu'on ne sache absolument pas où ni quand se situe l'action.
Ce qui est très bizarre, dans ce roman destiné aux ados en priorité (de 11 à 111 ans il est écrit au dos...), c'est que le héros-narrateur est quadragénaire. Inhabituel, non ? Moi ça ne m'a pas gênée, mais je me demande ce qu'il en serait pour un lectorat 'plus) jeune...
Bref, à part ça, ce roman fonctionne bien, l'action est rondement menée, vraisemblable, l'ambiance est bien rendue. Tout ceci sonne juste, une bonne intro à d'autres écrits sur le thème de Big Brother, des tyrannies et du fascisme.
Les métaphores et clins d'oeil historiques sont évidemment bien visibles, quoiqu'on ne sache absolument pas où ni quand se situe l'action.
Ce qui est très bizarre, dans ce roman destiné aux ados en priorité (de 11 à 111 ans il est écrit au dos...), c'est que le héros-narrateur est quadragénaire. Inhabituel, non ? Moi ça ne m'a pas gênée, mais je me demande ce qu'il en serait pour un lectorat 'plus) jeune...
Bref, à part ça, ce roman fonctionne bien, l'action est rondement menée, vraisemblable, l'ambiance est bien rendue. Tout ceci sonne juste, une bonne intro à d'autres écrits sur le thème de Big Brother, des tyrannies et du fascisme.
