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Critique de fiurenza


On aimerait aimer Claude Askolovitch, sa vie, sa peine, ses tourments. On aimerait compatir à la douleur aiguë qui est sans nul doute la sienne de voir mourir, trop tôt, la mère de ses enfants - qu'il ne sait aimer qu'à contre-temps. J'aurais aimé frissonner à la naissance de son nouvel amour avec une consoeur de 20 ans sa cadette. Sans tristesse, ni frisson, mi-gênée, mi-agacée, j'ai gardé mes distances face à ce qui n'est souvent qu'égoïsme et apitoiement. Ce sont les meilleurs qui partent les premiers - et ceux qui restent ne sont pas toujours dignes de les pleurer.
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