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Critique de de
Voici un petit livre très bien conçu. Quatre points d'entrée « Pourquoi ? », « C'est possible dès demain », « C'est nécessaire juste après », « Nous pouvons le faire sans attendre » pour chacun des six thèmes traités :
Mettre au pas la finance
Refuser la menace de la dette, l'austérité et la compétitivité
Engager la transition écologique
Relocaliser !
Aller vers la justice sociale et l'égalité réelle
En finir avec l'oligarchie, étendre et approfondir la démocratie
Dans l'introduction, les auteur-e-s soulignent, entre autres, le processus de désertification démocratique, le moment électoral comme pantomime, le caractère global de la crise, la nécessité d'opérer des ruptures à chaque fois que cela est réalisable… « Il faut ouvrir des brèches dans ce « réalisme » préfabriqué qui fait du capitalisme néolibéral – éventuellement « régulé » – l'horizon ultime de l'histoire ».
Pour chacun des thèmes traités, les auteur-e-s analysent et font des propositions pour l'immédiat, pour demain… Ces propositions ne sont pas un catalogue de mesures mais bien une articulation de réponses cohérentes immédiates et pour demain. Elles visent à rassembler et non à cliver, sans aucun renoncement.
Les arguments développés pour chaque thème prennent en compte la complexité des situations, ne négligent pas que pour défendre leurs intérêts, les salarié-e-s et les citoyen-ne-s doivent prendre en compte les dimensions de genre, les divisions racistes, etc…
Le point de départ est le refus de l'ordre/désordre du monde, du dogme de la concurrence libre et non faussée, des règles de dérégulation, de la précarisation, de démarche nationaliste ou xénophobe, du productivisme, de l'imaginaire consumériste, d'un système bancaire ressemblant à une « association de malfaiteurs »….
Il s'agit ici de soutien aux luttes, de coopération, de choix démocratiques, de transition écologique solidaire et féministe, de diminution du temps de travail, de participation de toutes et tous, de socialisation et de contrôle, de reprise des entreprises par les salarié-e-s, d'égalité (« La liberté sans l'égalité ne débouche donc que sur l'oppression »)…
« La démocratie est au centre de notre projet pour un autre monde ; elle est une pratique politique et citoyenne en construction permanente. Elle est la fin et le moyen de l'action politique ; elle n'est pas un supplément d'âme, mais la condition même de la survie des sociétés humaines »
Un livre à faire circuler, des analyses et des propositions à débattre, à critiquer, à compléter… Un support pédagogique et politique pour penser et agir.
Lien : https://entreleslignesentrel..
Mettre au pas la finance
Refuser la menace de la dette, l'austérité et la compétitivité
Engager la transition écologique
Relocaliser !
Aller vers la justice sociale et l'égalité réelle
En finir avec l'oligarchie, étendre et approfondir la démocratie
Dans l'introduction, les auteur-e-s soulignent, entre autres, le processus de désertification démocratique, le moment électoral comme pantomime, le caractère global de la crise, la nécessité d'opérer des ruptures à chaque fois que cela est réalisable… « Il faut ouvrir des brèches dans ce « réalisme » préfabriqué qui fait du capitalisme néolibéral – éventuellement « régulé » – l'horizon ultime de l'histoire ».
Pour chacun des thèmes traités, les auteur-e-s analysent et font des propositions pour l'immédiat, pour demain… Ces propositions ne sont pas un catalogue de mesures mais bien une articulation de réponses cohérentes immédiates et pour demain. Elles visent à rassembler et non à cliver, sans aucun renoncement.
Les arguments développés pour chaque thème prennent en compte la complexité des situations, ne négligent pas que pour défendre leurs intérêts, les salarié-e-s et les citoyen-ne-s doivent prendre en compte les dimensions de genre, les divisions racistes, etc…
Le point de départ est le refus de l'ordre/désordre du monde, du dogme de la concurrence libre et non faussée, des règles de dérégulation, de la précarisation, de démarche nationaliste ou xénophobe, du productivisme, de l'imaginaire consumériste, d'un système bancaire ressemblant à une « association de malfaiteurs »….
Il s'agit ici de soutien aux luttes, de coopération, de choix démocratiques, de transition écologique solidaire et féministe, de diminution du temps de travail, de participation de toutes et tous, de socialisation et de contrôle, de reprise des entreprises par les salarié-e-s, d'égalité (« La liberté sans l'égalité ne débouche donc que sur l'oppression »)…
« La démocratie est au centre de notre projet pour un autre monde ; elle est une pratique politique et citoyenne en construction permanente. Elle est la fin et le moyen de l'action politique ; elle n'est pas un supplément d'âme, mais la condition même de la survie des sociétés humaines »
Un livre à faire circuler, des analyses et des propositions à débattre, à critiquer, à compléter… Un support pédagogique et politique pour penser et agir.
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