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Critique de ildibad


Le début de "la Bohême et l'Ivraie" a ce côté primaire et macho (mais au combien jouissif) des oeuvres de jeunes auteurs de SF ou de fantasy.

Le harem (mots de l'auteur) ou les 3 vagins (mots de l'auteur) représentent 3 état de la femme idéale, version analyse transactionnelle de cuisine : Ely, l'enfant rebelle, Made, l'adulte et la Naïa, le parent.
Néanmoins, les 3 personnages féminins présentent les caractéristiques des héroïnes de Fantasy : rebelles, belles et mortellement dangereuses.

Le petit groupe de héros est en butte contre l'ensemble de l'univers pour gagner leur liberté d'expression et de création.

La commission éthique, qui est une sorte de Gestapo galactique, essaie de les neutraliser par tous les moyens.

Il y a certaines longueurs dans le texte :
- les aphorismes bohèmes que j'ai trouvé particulièrement lourds et poncifs (j'en ai zappé plus de la moitié)
- les kines qui rompent le rythme du récit.
- la transition entre la "rébellion" et "la scène finale"
- la scène finale qui par moment m'a semblé un peu incohérente

le livre d'Ayerdhal a suscité en son temps beaucoup de commentaires, mais reste un excellent moment de SF un peu dans la lignée de AE van Vogt
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