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Critique de bdelhausse
Et pourtant je ne pouvais pas vraiment l'ignorer... c'est écrit en majuscules en travers de la couverture: JEAN VAN HAMME. le gars qui a pondu XIII... le pope de l'intrigue. le Machiavel du rebondissement. le de Vinci du complot planétaire. Il est encore plus difficile de retenir toutes les identités de l'héroïne que dans un livre d'Amélie Nothomb...
Tarabiscoté, emberlificoté... détruire en page 35, ce que l'on a patiemment construit en 34 planches... Je ne suis pas énormément fan, surtout que tout repart à zéro en page 40, puis en page 45...
Ici, dire que Van Hamme nous livre un XIII féminin, ce serait réducteur. Il nous balance de la mafia , du KGB, du putsch russe, de l'ONU et des diplomates ripous turcs (non, ce n'est pas un pléonasme)... En un seul premier tome, on a déjà plusieurs fils rouges qui s'entrecroisent et l'héroïne a changé plusieurs fois d'identité... C'est dire !
Sinon, oui, le scénar tient la route. C'est van Hamme quand même... euh non, VAN HAMME...
Mais le dessin est vraiment en retrait. Il y a des choses assez réussies parfois, mais le découpage, la mise en planche et les dessins en eux-mêmes restent fort classiques, et à la limite du minimum syndical à plusieurs reprises. le scénario méritait quand même mieux.
Tarabiscoté, emberlificoté... détruire en page 35, ce que l'on a patiemment construit en 34 planches... Je ne suis pas énormément fan, surtout que tout repart à zéro en page 40, puis en page 45...
Ici, dire que Van Hamme nous livre un XIII féminin, ce serait réducteur. Il nous balance de la mafia , du KGB, du putsch russe, de l'ONU et des diplomates ripous turcs (non, ce n'est pas un pléonasme)... En un seul premier tome, on a déjà plusieurs fils rouges qui s'entrecroisent et l'héroïne a changé plusieurs fois d'identité... C'est dire !
Sinon, oui, le scénar tient la route. C'est van Hamme quand même... euh non, VAN HAMME...
Mais le dessin est vraiment en retrait. Il y a des choses assez réussies parfois, mais le découpage, la mise en planche et les dessins en eux-mêmes restent fort classiques, et à la limite du minimum syndical à plusieurs reprises. le scénario méritait quand même mieux.
