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Doggybags, volume 8 » tourne à présent bien en rond, se contentant de recycler les mêmes histoires de vengeance sur fond de légendes latino-américaines.
Derrière ce nettoyage pour le moins radical des criminels, on goutera moins la fascination repoussante pour les tueurs en série, qu'ils soient américains ou asiatiques…
Ce volume 8 desservi par l'habituel graphisme grossier de ses dessinateurs, passe donc les bornes de l'abject et se montre d'un intérêt plutôt faible, comme si le soufflet finissait finalement par retomber !
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https://lediscoursdharnois.b.. Commenter  J’apprécie         110