Je tiens à remercier Babelio puisque j'ai reçu ce court polar lors de leur dernière Masse critique ainsi que les éditions Jigal dont je fais la connaissance grâce à ce roman.
Tout d'abord, petit arrêt sur la couverture qui donne l'exacte image de la cour d'immeuble décrite dans l'histoire.
Et elle en aurait des choses à raconter cette cour d'immeuble.
Elle y voit passer des fêtards nocturnes, deux jeunes lettons militants révolutionnaires venus à Paris le temps d'une manif, une jeune femme sans papier qui n'est pas vraiment celle qu'elle dit être, un quadra veuf dont les enfants sont partis depuis dix ans, un jeune héritier fauché, un jeune couple pas loin du péril amoureux.
Tout ce petit monde se croise dans cette cour et dans les escaliers ce qui donne un rythme vif et haletant au récit.
Dans chacun des chapitres, l'auteur enchaîne les paragraphes donnant à chacun leur prénom. Je salue donc la construction qui m'a fait lire ce roman d'une traite.
Vous l'avez sûrement compris, j'ai beaucoup apprécié la lecture de
Noir côté cour.
Ouvrez le vite et vous découvrirez que chaque étage a son secret...
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