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Critique de jamiK
Pénélope Bagieu est l'autrice de “Culottées”, cette série relatant la vie de quelques grandes femmes dont la grandeur a été bien minimisée (euphémisme !) par le patriarcat et de “Joséphine”, une série sur les déboires d'une fille dont les formes ne correspondent pas aux canons de la beauté.
Dans Strates, elle nous propose une suite de rubriques autobiographiques sur des petites choses de la vie, de l'enfance à l'âge adulte, son chat lorsqu'elle était enfant, ses premiers émois amoureux, quelques râteaux, les seins qui poussent, la sensation de froid… On entre dans son intimité, ces petites histoires la rendent humaine, sensible, touchante, elle nous parle d'elle, mais aussi de tellement de jeunes filles qui lui ressemblent. Les Strates est sans doute une oeuvre bien plus anecdotique, mais elle est belle par sa sincérité et sa simplicité. À découvrir.
Dans Strates, elle nous propose une suite de rubriques autobiographiques sur des petites choses de la vie, de l'enfance à l'âge adulte, son chat lorsqu'elle était enfant, ses premiers émois amoureux, quelques râteaux, les seins qui poussent, la sensation de froid… On entre dans son intimité, ces petites histoires la rendent humaine, sensible, touchante, elle nous parle d'elle, mais aussi de tellement de jeunes filles qui lui ressemblent. Les Strates est sans doute une oeuvre bien plus anecdotique, mais elle est belle par sa sincérité et sa simplicité. À découvrir.
