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Critique de Poniel
Cet album repose sur un très beau conte japonais, que j'aime beaucoup.
Lorsque la mère de cette princesse meurt, elle souhaite par dessus tout le bonheur de sa fille, et pour être sûre qu'elle sera vraiment heureuse et rencontrera le prince qu'elle mérite, elle la maudit ! (Oui je sais, ça ne semble pas très logique...) Elle met donc un grand bol sur la tête de sa fille, lui cachant ainsi le visage. Personne n'a le pouvoir de l'enlever, et la princesse est donc condamnée à vivre cachée sous le bol...
Après de nombreuses péripéties, la princesse comprendra en fait la dernière volonté de sa mère : elle voulait être certaine qu'un homme aimerait sa file pour ce qu'elle est, et non pour son apparence. L'histoire se finit bien pour cette princesse pleine de courage !
Les illustrations d'Ein Lee sont de toute beauté, et plongent complètement le lecteur dans ce Japon ancestral. le texte de Samantha Bailly respecte bien l'histoire originale, tout en lui donnant la petite touche de "jeunesse" nécessaire.
Lorsque la mère de cette princesse meurt, elle souhaite par dessus tout le bonheur de sa fille, et pour être sûre qu'elle sera vraiment heureuse et rencontrera le prince qu'elle mérite, elle la maudit ! (Oui je sais, ça ne semble pas très logique...) Elle met donc un grand bol sur la tête de sa fille, lui cachant ainsi le visage. Personne n'a le pouvoir de l'enlever, et la princesse est donc condamnée à vivre cachée sous le bol...
Après de nombreuses péripéties, la princesse comprendra en fait la dernière volonté de sa mère : elle voulait être certaine qu'un homme aimerait sa file pour ce qu'elle est, et non pour son apparence. L'histoire se finit bien pour cette princesse pleine de courage !
Les illustrations d'Ein Lee sont de toute beauté, et plongent complètement le lecteur dans ce Japon ancestral. le texte de Samantha Bailly respecte bien l'histoire originale, tout en lui donnant la petite touche de "jeunesse" nécessaire.
