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Jolie découverte avec ce « Flamingo» d'un auteur américain qui m'était inconnu. C'est l'histoire de l'arrivée d'un cinéma en plein air dans une bourgade américaine des années soixante. Vu par le regard tendre du fils de la famille Lee, Larry Baker nous embarque dans cette Amérique des années 50/60, qui voit s'opposer deux familles : les Lee donc, et les Turner propriétaire des pompes funèbres, qui voient d'un mauvais oeil le projet novateur de leurs excentriques voisins. La guerre de voisinage va faire rage. Larry Baker donne chair avec truculence, humour et chaleur à ces personnages. On se prend d'affection pour eux des les premières pages tant le ton est juste et nos anonymes héros attachants. Entre humour et tendresse , un instantané d'une Amérique pleine de contrastes ou les projets les plus fous sont possibles. Comme le disait le slogan de Barack Obama lors de sa première élection « Yes, we can ». Rendez-vous au Drive-in de Jacksonville, le Flamingo passe une chouette histoire.
Critique de carre
Jolie découverte avec ce « Flamingo» d'un auteur américain qui m'était inconnu. C'est l'histoire de l'arrivée d'un cinéma en plein air dans une bourgade américaine des années soixante. Vu par le regard tendre du fils de la famille Lee, Larry Baker nous embarque dans cette Amérique des années 50/60, qui voit s'opposer deux familles : les Lee donc, et les Turner propriétaire des pompes funèbres, qui voient d'un mauvais oeil le projet novateur de leurs excentriques voisins. La guerre de voisinage va faire rage. Larry Baker donne chair avec truculence, humour et chaleur à ces personnages. On se prend d'affection pour eux des les premières pages tant le ton est juste et nos anonymes héros attachants. Entre humour et tendresse , un instantané d'une Amérique pleine de contrastes ou les projets les plus fous sont possibles. Comme le disait le slogan de Barack Obama lors de sa première élection « Yes, we can ». Rendez-vous au Drive-in de Jacksonville, le Flamingo passe une chouette histoire.
