En 1831,
Balzac ne s'était pas remis de la chute du roi Charles X. le narrateur - mais c'est l'auteur lui-même qui se confie - est explicite sur ce point. Deux, voire trois brèves
nouvelles fusionnées permettent ainsi au génie tourangeau de juxtaposer légende et surnaturel d'une part, allégorie à valeur politique et religieuse d'autre part. A l'issue de la Révolution de 1830,
Balzac avait clairement choisi son camp, celui du Trône et de l'Autel.
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