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Critique de gouelan
L'élixir de longue vie met en scène un Don Juan dans un univers fantastique.
Libertin, égoïste, il fait la fête dans son palais de Ferrare, entouré de courtisanes et d'amis, dans le luxe, l'insouciance et l'ivresse. Seule ombre au tableau ; ce père qui s'accroche à la vie :
"– Ah ! ne m'en parlez pas, s'écria le jeune et beau don Juan Belvidéro, il n'y a qu'un père éternel dans le monde, et le malheur veut que je l'aie ! "
Il ne croit pas si bien dire !
Pourtant son voeu va être exaucé, lorsqu'un domestique vient l'avertir de l'agonie de ce père.
Mais, entre ce rêve d'hérédité, de fortune et de gloire, il y a un obstacle : un précieux et mystérieux élixir, ayant le pouvoir de l'immortalité.
Tout à sa jouissance de sa fortune prochaine, Don Juan, n'a pas du tout envie de voir ce vieillard ressuscité.
Cette courte nouvelle aborde l'immortalité, le rêve des hommes de gagner contre cet ennemi fidèle qu'est la mort. Serait-il possible de déjouer cette fin inéluctable et effrayante ? de tels hommes acquérant ce pouvoir sortiraient de leur condition d'humain, voudraient être l'égal d'un Dieu. Et s'ils se rapprochaient plutôt du Diable ?
L'histoire a assez de répétitions d'hommes vils :
« Images terribles que le principe du mal, existant chez l'homme, éternise, et dont quelques copies se retrouvent de siècle en siècle … »
sans que cela soit souhaitable qu'ils s'éternisent.
Divers sujets comme le danger de l'immortalité, l'héritage, l'orgueil, la paternité, l'anticléricalisme, sont traités dans ce récit sombre et fantastique à travers ce personnage d'un Don Juan mêlé d'un Faust.
Libertin, égoïste, il fait la fête dans son palais de Ferrare, entouré de courtisanes et d'amis, dans le luxe, l'insouciance et l'ivresse. Seule ombre au tableau ; ce père qui s'accroche à la vie :
"– Ah ! ne m'en parlez pas, s'écria le jeune et beau don Juan Belvidéro, il n'y a qu'un père éternel dans le monde, et le malheur veut que je l'aie ! "
Il ne croit pas si bien dire !
Pourtant son voeu va être exaucé, lorsqu'un domestique vient l'avertir de l'agonie de ce père.
Mais, entre ce rêve d'hérédité, de fortune et de gloire, il y a un obstacle : un précieux et mystérieux élixir, ayant le pouvoir de l'immortalité.
Tout à sa jouissance de sa fortune prochaine, Don Juan, n'a pas du tout envie de voir ce vieillard ressuscité.
Cette courte nouvelle aborde l'immortalité, le rêve des hommes de gagner contre cet ennemi fidèle qu'est la mort. Serait-il possible de déjouer cette fin inéluctable et effrayante ? de tels hommes acquérant ce pouvoir sortiraient de leur condition d'humain, voudraient être l'égal d'un Dieu. Et s'ils se rapprochaient plutôt du Diable ?
L'histoire a assez de répétitions d'hommes vils :
« Images terribles que le principe du mal, existant chez l'homme, éternise, et dont quelques copies se retrouvent de siècle en siècle … »
sans que cela soit souhaitable qu'ils s'éternisent.
Divers sujets comme le danger de l'immortalité, l'héritage, l'orgueil, la paternité, l'anticléricalisme, sont traités dans ce récit sombre et fantastique à travers ce personnage d'un Don Juan mêlé d'un Faust.
