Que dire... C'est du
Balzac pur jus, compliqué à lire, des monologues de 5 pages et une histoire bien ficelée.
Raphaël de Valentin, jeune marquis, sans fortune est au fond du trou. Plus d'argent, éperdument amoureux d'une femme qui ne veut pas lui, reste le suicide. Mais se jeter dans la seine de nuit, sans façon, faut attendre le jour, plus classe.
Longeant les quais, il tombe sur un magasin qui vend un peu de tout, mais surtout des choses chers. Il déambule dans les étages quand il est abordé par le propriétaire, un vieux monsieur sans âge, qui lui propose "
la peau de chagrin" qui exauce tous ses désirs.
Seulement il y a une contrepartie, plus y a de souhait plus la peau rétrécie. Et à la fin...
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