Ce roman présente de nombreuses analogies avec«
le curé de village » pus tardif : un personnage (ici un homme le docteur Benassis) devient le bienfaiteur d'un village pour expier une faute dans son passé. On évoque beaucoup Napoléon et la campagne de Russie (La Bérézina comme dans la nouvelle «
Adieu ») . Enfin
Balzac y met en scène certaines de ses théories sociales.
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