Excellente première partie, seconde partie bâclée. Normal, le bouquin, inachevé à la mort
De Balzac, a été fini par sa veuve, qui a habillé le squelette (romanesque, bien sûr) laissé par le grand homme, et a été édité posthumément. C'est un antidote vigoureux à la niaiserie du monde paysan idéalisé par beaucoup d'écrivains de l'époque, genre bucoliques pastorales. Beaucoup plus proche en fait de "la Terre" que produira plus tard
Zola, le roman, entre les habituelles superbes descriptions de la vie de province, a le mérite de rappeler que les "dominés" ont certes plus d'un tour dans leur sac, mais sont souvent manipulés par plus retors qu'eux.
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