De
Dominique Barbéris, j'avais adoré «
Les kangourous » pour son atmosphère angoissante aux lisières d'un Jardin des Plantes arrosé par des pluies incessantes et de la rue Monge ruisselante d'eau.
Dans cette « Année de l'Éducation sentimentale », l'orage menace et finit par éclater sur cette maison de campagne perdue où se retrouvent trois amies quinquagénaires. Elles échangent leurs souvenirs d'étudiantes et de voyageuses en short et sacs à dos.
Et, je regrette de le dire, c'est inepte, ennuyeux, bourré de stéréotypes. La femme abandonnée, la célibattante, l'ennui de la campagne ...
Même la langue est décevante. Vive le prochain
Dominique Barbéris.
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