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Critique de tislerkarine
« La langue du coeur n'a pas besoin de mots pour être comprise, c'est dans les yeux qu'elle est écrite. » Sophie Cottin.
Mina Torne est en couple avec Nathan depuis trois ans. La routine s'est installée entraînant Mina dans une envie d'autre chose. Elle décide de prendre des cours de guitare auprès de Hugo Martinez. Un homme à la stature d'un rugbyman, au regard de braise entouré de calotte glaciaire. Sa particularité résulte dans sa voix chaude, ensorcelante et autoritaire. Mina ne peut résister, charmée par tant de sex-appeal et de charisme, s'est dans ses bras qu'elle finira, au détriment de Nathan qui sera évincé de sa vie. Cette promiscuité charnelle, cette attirance malsaine qui se créées vont compliquer la vie de Mina. Se sentant perdue, elle trouve refuge auprès de Ronan, son meilleur ami copain copine. Un être de lumière à lui tout seul une bouffée d'oxygène, un joyeux luron que l'on aimerait avoir comme ami. Les semaines s'enchaînent, le lien qui unit Hugo à son élève devient de plus en plus petit, ils ne peuvent résister, sauf que Mina se méfie à cause des conquêtes successives que Hugo a pu avoir. Jenna fait partie de celles ci, même si elle reste un plan sexe, sa présence demeure un obstacle à la relation naissante entre Hugo et Mina.
Le prof de musique a un caractère bien assis, il ne supporte pas d'être éconduit, d'être contredit et de ne pas avoir le contrôle sur sa vie et celle de ceux qu'il aime. D'où lui vient cette possessivité disproportionnée et envahissante ? Son irritabilité se traduit souvent pas des excès de rage, envoyant valser tout ce qui lui tombe sous la main, fracassant des objets et criant des insultes voir des paroles très blessantes pour se défendre. Un mode de bouclier derrière lequel il se sent protégé, mais de quoi ? de qui ? Pourquoi ? Qui a bien pu l'infligé de la sorte pour le réduire à être si cynique, froid, distant et antipathique ? Il se hait, se déteste, se flagelle mentalement pour des actes dont il n'est ps coupable mais qui le ronge jour après jour, nuit après nuit, l'enfermant un peu plus dans sa folie d'autodestruction.
Mina acceptera t-elle ses excès de fureurs ? L'Ego disproportionné de Hugo sera t-il un frein à leur relation ? Elle sera sa force et sa faiblesse. Avec elle, il devra se séparer de cette carapace qui l'oppresse, le renferme, le tenaille pour s'ouvrir enfin vers un monde auquel il ne pensait plus appartenir. Mina va souffrir avec lui, subir des humiliations, des crises de jalousie, des revers, des menaces et malgré tout ça, elle restera auprès de celui qu'elle aime plus que sa vie. Ils sont l'évidence de l'autre, l'âme soeur incontournable, s'éloigner est un supplice, se retrouver est un feu d'artifice. Oui mais... Accepter jusqu'à quand ? Pardonner jusqu'à quel point ? L'amour ne peut pas tout sauver. Toutefois, torturée elle aussi, Mina sera le pilier de son homme ; ensemble ils vaincront les obstacles grâce à l'appui de Ronan et de Théo, le frère cadet de Hugo qui sera indispensable voir vital. Est ce que se sera suffisant ?
Une relation foudroyante, intensive, toxique, forte et incontrôlable vécue par deux âmes meurtrie par le chagrin, la colère et le peu d'espoir d'avoir un destin heureux puisqu'ils ne s'en sentent pas digne. Savoir refréner ses peurs, ses angoisses, affronter l'avenir comme si le jour décisif était arrivé. « Savoir aimer, donner sans reprendre, ne rien faire qu 'apprendre, apprendre à aimer » Florent Pagny le chante si bien cette appel à l'amour inconditionnel et indestructible.
Cette histoire est comme dans mes souvenirs. Intense, dure, drôle grâce à Ronan qui est et restera mon chouchou, j'en veux un dans ma vie.
Micaela Barletta a fait des changements qui sont flagrants, même si je l'ai déjà lu et chroniquer il y a quelques mois, relire ces mots avec autant de passion comme elle sait si bien les faire paraître m'a fait les aimer encore plus,je dois dire que j'ai aussi aimé la façon de Micaela de l'avoir remaniée. Nathan est moins présent, Mina pleure toujours autant et j'ai encore eu plus envie de la claquer, pardon mais elle m'a souvent énervée. Hugo, dans cette carapace qu'il s'est forgée est un être plein de bon sens, de tendresse et d'humanité quand on sait où creuser. Théo, le frère cadet qui n'a pas connu Hugo du passé avec les yeux d'un adulte, son soutien est un pont sur lequel Mina pourra passer pour atteindre Hugo. Puis il y a Ronan, cet homme gay comme phoque, hilarant dans ses réflexions, un mec atypique et qui donne envie d'être heureux. Il respire la vie, l'honnêteté et je l'ai imaginé sous les traits de Jarry l'humoriste qui n'a pas non plus sa langue, ni autre chose dans sa poche si vous voyez ce que je veux dire. Pour moi il est l'atout majeur dans cette histoire. Bref, tout ça pour dire que c'est un énorme coup de coeur. Préparez vous à pleurer, rire, stresser et envoyer valser les tracas du quotidien. Je confirme pour le chocolat et la boite de mouchoir, punaise Micaela tu ne les as pas épargnés vilaine va. Je vous laisse découvrir cette petite merveille et comme dirais Ronan.... Non je préfère vous laissez découvrir les répliques fard de cet énergumène solaire.
Merci Micaela Barletta Auteure pour ce beau service presse, merci pour ta confiance.
Bonne lecture.
Mina Torne est en couple avec Nathan depuis trois ans. La routine s'est installée entraînant Mina dans une envie d'autre chose. Elle décide de prendre des cours de guitare auprès de Hugo Martinez. Un homme à la stature d'un rugbyman, au regard de braise entouré de calotte glaciaire. Sa particularité résulte dans sa voix chaude, ensorcelante et autoritaire. Mina ne peut résister, charmée par tant de sex-appeal et de charisme, s'est dans ses bras qu'elle finira, au détriment de Nathan qui sera évincé de sa vie. Cette promiscuité charnelle, cette attirance malsaine qui se créées vont compliquer la vie de Mina. Se sentant perdue, elle trouve refuge auprès de Ronan, son meilleur ami copain copine. Un être de lumière à lui tout seul une bouffée d'oxygène, un joyeux luron que l'on aimerait avoir comme ami. Les semaines s'enchaînent, le lien qui unit Hugo à son élève devient de plus en plus petit, ils ne peuvent résister, sauf que Mina se méfie à cause des conquêtes successives que Hugo a pu avoir. Jenna fait partie de celles ci, même si elle reste un plan sexe, sa présence demeure un obstacle à la relation naissante entre Hugo et Mina.
Le prof de musique a un caractère bien assis, il ne supporte pas d'être éconduit, d'être contredit et de ne pas avoir le contrôle sur sa vie et celle de ceux qu'il aime. D'où lui vient cette possessivité disproportionnée et envahissante ? Son irritabilité se traduit souvent pas des excès de rage, envoyant valser tout ce qui lui tombe sous la main, fracassant des objets et criant des insultes voir des paroles très blessantes pour se défendre. Un mode de bouclier derrière lequel il se sent protégé, mais de quoi ? de qui ? Pourquoi ? Qui a bien pu l'infligé de la sorte pour le réduire à être si cynique, froid, distant et antipathique ? Il se hait, se déteste, se flagelle mentalement pour des actes dont il n'est ps coupable mais qui le ronge jour après jour, nuit après nuit, l'enfermant un peu plus dans sa folie d'autodestruction.
Mina acceptera t-elle ses excès de fureurs ? L'Ego disproportionné de Hugo sera t-il un frein à leur relation ? Elle sera sa force et sa faiblesse. Avec elle, il devra se séparer de cette carapace qui l'oppresse, le renferme, le tenaille pour s'ouvrir enfin vers un monde auquel il ne pensait plus appartenir. Mina va souffrir avec lui, subir des humiliations, des crises de jalousie, des revers, des menaces et malgré tout ça, elle restera auprès de celui qu'elle aime plus que sa vie. Ils sont l'évidence de l'autre, l'âme soeur incontournable, s'éloigner est un supplice, se retrouver est un feu d'artifice. Oui mais... Accepter jusqu'à quand ? Pardonner jusqu'à quel point ? L'amour ne peut pas tout sauver. Toutefois, torturée elle aussi, Mina sera le pilier de son homme ; ensemble ils vaincront les obstacles grâce à l'appui de Ronan et de Théo, le frère cadet de Hugo qui sera indispensable voir vital. Est ce que se sera suffisant ?
Une relation foudroyante, intensive, toxique, forte et incontrôlable vécue par deux âmes meurtrie par le chagrin, la colère et le peu d'espoir d'avoir un destin heureux puisqu'ils ne s'en sentent pas digne. Savoir refréner ses peurs, ses angoisses, affronter l'avenir comme si le jour décisif était arrivé. « Savoir aimer, donner sans reprendre, ne rien faire qu 'apprendre, apprendre à aimer » Florent Pagny le chante si bien cette appel à l'amour inconditionnel et indestructible.
Cette histoire est comme dans mes souvenirs. Intense, dure, drôle grâce à Ronan qui est et restera mon chouchou, j'en veux un dans ma vie.
Micaela Barletta a fait des changements qui sont flagrants, même si je l'ai déjà lu et chroniquer il y a quelques mois, relire ces mots avec autant de passion comme elle sait si bien les faire paraître m'a fait les aimer encore plus,je dois dire que j'ai aussi aimé la façon de Micaela de l'avoir remaniée. Nathan est moins présent, Mina pleure toujours autant et j'ai encore eu plus envie de la claquer, pardon mais elle m'a souvent énervée. Hugo, dans cette carapace qu'il s'est forgée est un être plein de bon sens, de tendresse et d'humanité quand on sait où creuser. Théo, le frère cadet qui n'a pas connu Hugo du passé avec les yeux d'un adulte, son soutien est un pont sur lequel Mina pourra passer pour atteindre Hugo. Puis il y a Ronan, cet homme gay comme phoque, hilarant dans ses réflexions, un mec atypique et qui donne envie d'être heureux. Il respire la vie, l'honnêteté et je l'ai imaginé sous les traits de Jarry l'humoriste qui n'a pas non plus sa langue, ni autre chose dans sa poche si vous voyez ce que je veux dire. Pour moi il est l'atout majeur dans cette histoire. Bref, tout ça pour dire que c'est un énorme coup de coeur. Préparez vous à pleurer, rire, stresser et envoyer valser les tracas du quotidien. Je confirme pour le chocolat et la boite de mouchoir, punaise Micaela tu ne les as pas épargnés vilaine va. Je vous laisse découvrir cette petite merveille et comme dirais Ronan.... Non je préfère vous laissez découvrir les répliques fard de cet énergumène solaire.
Merci Micaela Barletta Auteure pour ce beau service presse, merci pour ta confiance.
Bonne lecture.
