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Critique de Livrespourvous
Voici un court essai sur l'Etat d'Israël, limpide, clair et précis.
Même en 2010, il est toujours difficile d'écrire sur Israël ou sur les Juifs lorsqu'on n'est pas juif. Très vite, on est taxé de façon primaire d'antisémite ou d'anti-juif.
En France, dès qu'on critique un Juif ou Israël, sans tomber bien évidemment dans le racisme,ligues et associations dites antiracistes vous tombent dessus. de même, si vous critiquez les Musulmans, sans tomber aussi dans le racisme,ligues et associations dites antiracistesvous tombe dessus, opprobre assortie d'une Fatwa.
C'est bien mais je n'ai jamais entendu ligues et associations dites antiracistes s'époumoner lorsque le Pape et partant, les Chrétiens sont victimes de propos injurieux de la part de comiques, qui n'auraient certes pas le même courage s'il s'agissait d'un Rabbin ou d'un Imam.
Il me souvient pourtant que sur le frontispice de la République est inscrit : liberté, égalité, fraternité ! C'est ce qui a fait et qui fera la force de la France, le respect et l'intégration des peuples qui la composent. Hélas cette « justice » est et demeure partisane !
Eh bien, il n'y a pas l'once d'un anti-sémitisme ou d'un anti-juif dans les propos de Barreau. Bien au contraire, on sent poindre derrière son analyse, une profonde affection pour Israël.
Avec ses mots et sa propre musique, Barreau raconte la naissance d'Israël.
Tout commence avec Théodore Herzl puis avec les combats contre les Anglais au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale.
Puis les actes terroristes de l'Irgoun de Beguin et notamment l'explosion de l'hôtel King David à Jérusalem, le 22 juillet 1946, qui décide les Anglais à laisser la Palestine.
Puis la déclaration de l'indépendance d'Israël par Ben Gourion, le 14 mai 1948. Puis la guerre des Six Jours lorsqu'Israël annexe Jérusalem.
Puis la guerre du Kippour lorsque les Egyptiens et les Syriens unis attaquent Israël, ce qui aboutira aux accords de Camp-David en 1978.
Ce qu'on n'arrive pas à comprendre, c'est la volonté tenace d'Israël à ne pas vouloir composer avec les Arabes. Et ce jusqu'au-boutisme pourrait lui être fatal. En effet, dans l'Histoire, même si on peut essayer d'avancer la supériorité des armes, c'est toujours le nombre qui l'emporte. Et hélas, ce dernier n'est pas du côté d'Israël.
Et comme le pense si justement Barreau, il est plus que temps de préparer l'avenir d'Israël, au lieu d'assister à ce lent et stérile suicide.
Liberté, égalité et fraternité n'est-elle qu'une trilogie utopique pour stupides révolutionnaires ou naïfs ?
Lien : http://livrespourvous.center..
Même en 2010, il est toujours difficile d'écrire sur Israël ou sur les Juifs lorsqu'on n'est pas juif. Très vite, on est taxé de façon primaire d'antisémite ou d'anti-juif.
En France, dès qu'on critique un Juif ou Israël, sans tomber bien évidemment dans le racisme,ligues et associations dites antiracistes vous tombent dessus. de même, si vous critiquez les Musulmans, sans tomber aussi dans le racisme,ligues et associations dites antiracistesvous tombe dessus, opprobre assortie d'une Fatwa.
C'est bien mais je n'ai jamais entendu ligues et associations dites antiracistes s'époumoner lorsque le Pape et partant, les Chrétiens sont victimes de propos injurieux de la part de comiques, qui n'auraient certes pas le même courage s'il s'agissait d'un Rabbin ou d'un Imam.
Il me souvient pourtant que sur le frontispice de la République est inscrit : liberté, égalité, fraternité ! C'est ce qui a fait et qui fera la force de la France, le respect et l'intégration des peuples qui la composent. Hélas cette « justice » est et demeure partisane !
Eh bien, il n'y a pas l'once d'un anti-sémitisme ou d'un anti-juif dans les propos de Barreau. Bien au contraire, on sent poindre derrière son analyse, une profonde affection pour Israël.
Avec ses mots et sa propre musique, Barreau raconte la naissance d'Israël.
Tout commence avec Théodore Herzl puis avec les combats contre les Anglais au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale.
Puis les actes terroristes de l'Irgoun de Beguin et notamment l'explosion de l'hôtel King David à Jérusalem, le 22 juillet 1946, qui décide les Anglais à laisser la Palestine.
Puis la déclaration de l'indépendance d'Israël par Ben Gourion, le 14 mai 1948. Puis la guerre des Six Jours lorsqu'Israël annexe Jérusalem.
Puis la guerre du Kippour lorsque les Egyptiens et les Syriens unis attaquent Israël, ce qui aboutira aux accords de Camp-David en 1978.
Ce qu'on n'arrive pas à comprendre, c'est la volonté tenace d'Israël à ne pas vouloir composer avec les Arabes. Et ce jusqu'au-boutisme pourrait lui être fatal. En effet, dans l'Histoire, même si on peut essayer d'avancer la supériorité des armes, c'est toujours le nombre qui l'emporte. Et hélas, ce dernier n'est pas du côté d'Israël.
Et comme le pense si justement Barreau, il est plus que temps de préparer l'avenir d'Israël, au lieu d'assister à ce lent et stérile suicide.
Liberté, égalité et fraternité n'est-elle qu'une trilogie utopique pour stupides révolutionnaires ou naïfs ?
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