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Critique de mallaurylit
Chère Tonie,
Les meilleurs desserts sont ceux que l'on prend le temps de déguster…Oui mais voilà, je suis gourmande, très gourmande. Dès que mes papilles se mettent à frétiller, elles en veulent toujours plus, tellement que je peux devenir incapable de partager, tellement que je peux devenir profondément égoïste…Ne subsiste que moi et mon plaisir. Tout le reste ne devient alors que futilité, inutilité parfois…Mon sens du sacrifice très certainement, ce qui ne me fait pas vibrer, je peux m'en passer facilement.
Alors voilà, un samedi matin, où telle la parfaite petite abeille dans sa ruche j'étais déterminée à faire de cette journée, une journée productive, j'ai commencé à lire ton roman. Les premières bouchées étaient juste comme j'aime, ça fondait sous le regard, ça avait cet aspect un peu magique, celui au début des belles histoires, celui où on s'en laisse conter avec ravissement. La saveur n'en était qu'aux prémices… Joséphine est ensuite entrée en jeu, doucement, à petit pas, apportant un petit quelque chose qui intensifiait les premières sensations, qui apportait une nouvelle dimension. Et là, tourbillon des saveurs, emportement des sens, le parfum d'antan, parfaitement dessiné par tes mots jusqu'à le rendre si présent. L'alternance des époques, délicieuse, bienvenue, pour exalter les émotions, pour emporter loin.
S'est ajouté à tout cela, un peu de piquant, du mystère, quelques frissons, une composition de plus en plus parfaite, harmonieuse, beaucoup de goût, et une attention qui ne se relâche pas. Des portraits féminins, stimulants, forts, attachants, qui contribuent à donner du caractère à l'ensemble, avec finesse, une touche d'élégance.
Tout est là, dans la juste variation des plaisirs, le bel équilibre entre toutes les tonalités, l'instant de lecture dont on se délecte, l'accord parfait, celui qui n'attend pas, celui qui justifie qu'on ne pense qu'à soi, qu'on le savoure jusqu'à la dernière miette.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Les meilleurs desserts sont ceux que l'on prend le temps de déguster…Oui mais voilà, je suis gourmande, très gourmande. Dès que mes papilles se mettent à frétiller, elles en veulent toujours plus, tellement que je peux devenir incapable de partager, tellement que je peux devenir profondément égoïste…Ne subsiste que moi et mon plaisir. Tout le reste ne devient alors que futilité, inutilité parfois…Mon sens du sacrifice très certainement, ce qui ne me fait pas vibrer, je peux m'en passer facilement.
Alors voilà, un samedi matin, où telle la parfaite petite abeille dans sa ruche j'étais déterminée à faire de cette journée, une journée productive, j'ai commencé à lire ton roman. Les premières bouchées étaient juste comme j'aime, ça fondait sous le regard, ça avait cet aspect un peu magique, celui au début des belles histoires, celui où on s'en laisse conter avec ravissement. La saveur n'en était qu'aux prémices… Joséphine est ensuite entrée en jeu, doucement, à petit pas, apportant un petit quelque chose qui intensifiait les premières sensations, qui apportait une nouvelle dimension. Et là, tourbillon des saveurs, emportement des sens, le parfum d'antan, parfaitement dessiné par tes mots jusqu'à le rendre si présent. L'alternance des époques, délicieuse, bienvenue, pour exalter les émotions, pour emporter loin.
S'est ajouté à tout cela, un peu de piquant, du mystère, quelques frissons, une composition de plus en plus parfaite, harmonieuse, beaucoup de goût, et une attention qui ne se relâche pas. Des portraits féminins, stimulants, forts, attachants, qui contribuent à donner du caractère à l'ensemble, avec finesse, une touche d'élégance.
Tout est là, dans la juste variation des plaisirs, le bel équilibre entre toutes les tonalités, l'instant de lecture dont on se délecte, l'accord parfait, celui qui n'attend pas, celui qui justifie qu'on ne pense qu'à soi, qu'on le savoure jusqu'à la dernière miette.
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