>
Critique de Angel_bookine
Second roman de cette autrice à mon palmarès et le plaisir est renouvelé.
"On n'empêche pas une étoile de briller" fait partie de sa saga des "grands boulevards". Ainsi nous trouvons nous à nouveau au 19 Bis Boulevard Montmartre pour découvrir la vie de son locataire du 4ème étage, Max Dahan.
Une part de l'originalité de l'oeuvre de Tonie Behar réside dans cet immeuble imaginaire et ses habitants, décor de tous ses romans, créant ainsi une série composée d'ouvrages pouvant néanmoins être lus séparément.
Grâce à cet ouvrage nous découvrons enfin ce qui se cache derrière les points de suspension qui achèvent le chapitre premier de "la chanson du rayon de lune", l'histoire de cette rockeuse, Alexandra, qui a enroulé Max autour de ses baguettes de batteuse.
Le lecteur est invité à suivre avec délice cette histoire d'amour tumultueuse, passionnelle, évidente, durant plus de six décennies, entre Paris, San Francisco et Los Angeles.
Tonie Behar ne laisse aucun détail au hasard - musique, émissions de radios, lieux emblématiques, artistes, tenues vestimentaires - offrant une immersion totale à chaque décennie traversée et dressant, au détour de cette comédie romantique, un tableau juste et engagé de la révolution sexuelle, du féminisme, de la condition animale, de l'évolution des moeurs et de la société.
Les chapitres sont courts, l'écriture fluide et addictive; le roman se déguste, se savoure comme un bonbon acidulé. le lecteur est tenu en haleine durant tout le récit, attendant la révélation finale, le dénouement, avec impatience.
J'apprécie énormément la plume de Tonie Behar, mettant en scène des femmes fortes, engagées, accomplies et il me tarde de découvrir les secrets que cachent les autres habitants du 19 bis Boulevard Montmartre.
"On n'empêche pas une étoile de briller" fait partie de sa saga des "grands boulevards". Ainsi nous trouvons nous à nouveau au 19 Bis Boulevard Montmartre pour découvrir la vie de son locataire du 4ème étage, Max Dahan.
Une part de l'originalité de l'oeuvre de Tonie Behar réside dans cet immeuble imaginaire et ses habitants, décor de tous ses romans, créant ainsi une série composée d'ouvrages pouvant néanmoins être lus séparément.
Grâce à cet ouvrage nous découvrons enfin ce qui se cache derrière les points de suspension qui achèvent le chapitre premier de "la chanson du rayon de lune", l'histoire de cette rockeuse, Alexandra, qui a enroulé Max autour de ses baguettes de batteuse.
Le lecteur est invité à suivre avec délice cette histoire d'amour tumultueuse, passionnelle, évidente, durant plus de six décennies, entre Paris, San Francisco et Los Angeles.
Tonie Behar ne laisse aucun détail au hasard - musique, émissions de radios, lieux emblématiques, artistes, tenues vestimentaires - offrant une immersion totale à chaque décennie traversée et dressant, au détour de cette comédie romantique, un tableau juste et engagé de la révolution sexuelle, du féminisme, de la condition animale, de l'évolution des moeurs et de la société.
Les chapitres sont courts, l'écriture fluide et addictive; le roman se déguste, se savoure comme un bonbon acidulé. le lecteur est tenu en haleine durant tout le récit, attendant la révélation finale, le dénouement, avec impatience.
J'apprécie énormément la plume de Tonie Behar, mettant en scène des femmes fortes, engagées, accomplies et il me tarde de découvrir les secrets que cachent les autres habitants du 19 bis Boulevard Montmartre.
