>
Critique de Yvan_T
Le dixième tome de cette série qui revisite l'histoire de l'homme araignée reprend les épisodes #18 (The Cycle) et #19 (Piece Of Work) de la version US Ultimate Spider-Man parus en avril 2002, avec un scénario de Brian Michael Bendis ("Torso", "Powers", "Daredevil (100% Marvel)", "Goldfish", "Jinx", "Sam and Twitch") et des dessins de Mark Bagley.
Avec ce nouvel album, Spider-Man est enfin impliqué dans un combat avec un super-vilain (ça faisait longtemps), et pas un des moindres car il s'agit de son premier combat avec le Docteur Octopus, alias Otto Octavius. Bendis délivre donc une scène d'action traditionnelle mais efficace. Des combats qui permettent à Bendis de démontrer la vulnérabilité de notre super-héros, mais également les conséquences sur le quotidien de Peter Parker : chose dans laquelle Bendis excelle.
La relation entre Peter et Mary Jane est bien développée, avec une MJ qui parvient à apporter le réconfort nécessaire à un Peter Parker malmené de tous les côtés. Il est d'ailleurs intéressant de voir que Spider-Man, dont la cote de popularité n'est pas au mieux, doit également craindre de se faire arrêter par des forces de l'ordre apparemment équipées pour appréhender des super-héros. L'introduction de Gwen Stacy commence également à devenir intéressante et les conséquences de sa présence sur la relation parfaite entre MJ et Peter devraient également devenir de plus en plus intéressantes.
Bendis fait donc monter le suspense en plaçant Spider-Man entre des super-vilains, des chasseurs de primes, des forces de l'ordre et des médias pas très objectifs. Et de l'autre côté, il place un Peter Parker dans une situation difficile en introduisant Gwen Stacy et en montrant les difficultés qu'il a à préserver son secret vis-à-vis de tante May et de ses copains de classe.
Avec ce nouvel album, Spider-Man est enfin impliqué dans un combat avec un super-vilain (ça faisait longtemps), et pas un des moindres car il s'agit de son premier combat avec le Docteur Octopus, alias Otto Octavius. Bendis délivre donc une scène d'action traditionnelle mais efficace. Des combats qui permettent à Bendis de démontrer la vulnérabilité de notre super-héros, mais également les conséquences sur le quotidien de Peter Parker : chose dans laquelle Bendis excelle.
La relation entre Peter et Mary Jane est bien développée, avec une MJ qui parvient à apporter le réconfort nécessaire à un Peter Parker malmené de tous les côtés. Il est d'ailleurs intéressant de voir que Spider-Man, dont la cote de popularité n'est pas au mieux, doit également craindre de se faire arrêter par des forces de l'ordre apparemment équipées pour appréhender des super-héros. L'introduction de Gwen Stacy commence également à devenir intéressante et les conséquences de sa présence sur la relation parfaite entre MJ et Peter devraient également devenir de plus en plus intéressantes.
Bendis fait donc monter le suspense en plaçant Spider-Man entre des super-vilains, des chasseurs de primes, des forces de l'ordre et des médias pas très objectifs. Et de l'autre côté, il place un Peter Parker dans une situation difficile en introduisant Gwen Stacy et en montrant les difficultés qu'il a à préserver son secret vis-à-vis de tante May et de ses copains de classe.
