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Critique de TiteLisette
Il est rare que je relise un livre.
Mais voici pourtant que je referme la dernière page de celui-ci pour la 2ème fois. Avec délectation.
Parce qu'il était classé au rayon ado de ma médiathèque, je l'avais sous-estimé. Parce que le style est simple et les phrases un peu courtes, j'avais mis du temps à me laisser emporter lors de ma première lecture.
Et puis. Et puis, l'histoire de Quanah, dernier Comanche au coeur pur, fils d'une blanche capturée par le grand chef Peta Nocona, m'a happée. J'ai remonté avec lui le fil de son histoire, parcouru des espaces de moins en moins grands, de moins en moins libres, en totale harmonie avec son mustang et la mère nature. J'ai souffert avec lui de l'avidité des Blancs, de leur soif de domination, de propriété, sur ce qui ne devrait appartenir à personne, pour le bien de tous.
Ce personnage a réellement existé. Sa lutte, ses convictions, son désespoir aussi, même si ce livre est un roman et non une biographie.
Sans fioritures, sans recherche d'effets superficielle, Nathalie Bernard parvient à nous livrer sa vérité sur la fin d'un monde. Droit au but.
Mais voici pourtant que je referme la dernière page de celui-ci pour la 2ème fois. Avec délectation.
Parce qu'il était classé au rayon ado de ma médiathèque, je l'avais sous-estimé. Parce que le style est simple et les phrases un peu courtes, j'avais mis du temps à me laisser emporter lors de ma première lecture.
Et puis. Et puis, l'histoire de Quanah, dernier Comanche au coeur pur, fils d'une blanche capturée par le grand chef Peta Nocona, m'a happée. J'ai remonté avec lui le fil de son histoire, parcouru des espaces de moins en moins grands, de moins en moins libres, en totale harmonie avec son mustang et la mère nature. J'ai souffert avec lui de l'avidité des Blancs, de leur soif de domination, de propriété, sur ce qui ne devrait appartenir à personne, pour le bien de tous.
Ce personnage a réellement existé. Sa lutte, ses convictions, son désespoir aussi, même si ce livre est un roman et non une biographie.
Sans fioritures, sans recherche d'effets superficielle, Nathalie Bernard parvient à nous livrer sa vérité sur la fin d'un monde. Droit au but.
