Le voilà, le
Philippe Vuillemin que j'appréciais avec son noir et blanc d'une noirceur à l'humour rauque et vachard!
Sur la musique hard de
Jackie Berroyer, notre Vuillemin des années 80 déchaîne son trait rude et violent pour une histoire de jouissif désespoir des banlieues bétonnées.
Raoul Teigneux est prêt pour l'aventure.
C'est ce côté caustique, voyou et mal-poli qui me manque chez le Vuillemin actuel.
Raoul Teigneux n'est pas à présenter à tous les cercles littéraires ou à introduire dans certaines bibliothèques... Mais il reste puissant comme un alcool de contrebande!
Alors, à lire!
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