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Critique de AnnaDulac
Les éditions Parigramme nous révèlent inlassablement des aspects de Paris inédits, ou drôles ou insolites.
Pour qui aime cette ville, les publications de cet éditeur sont un trésor. La
présentation graphique des ouvrages est extrêmement soignée et attrayante. Les formats varient au gré des sujets. Et leur prix est abordable.
Ici c'est un Paris plus classique qui nous est offert, un Paris que l'on croyait connaître : celui des écrivains.
Par ordre chronologique, de Balzac à Modiano, c'est toute l'évolution urbanistique de Paris qui nous est rappelée : les vieilles pensions balzaciennes, les scandales des percements haussmanniens, la Tour Eiffel, le café de Flore. Nous visitons les rues à la recherche des domiciles des écrivains, dont le plus merveilleux est sans aucun doute celui de Colette au Palais-Royal. Et nous croisons aussi bien Gervaise que les personnages de Modiano.
Les textes en français, traduits en anglais, sont accompagnés de nombreuses photographies et de reproductions de tableaux qui suscitent notre étonnement et notre rêverie. Comme le dit Ernest Hemingway « Paris n'a jamais de fin. »
Merci à Masse critique/Babelio et à Parigramme pour ce beau livre.
Pour qui aime cette ville, les publications de cet éditeur sont un trésor. La
présentation graphique des ouvrages est extrêmement soignée et attrayante. Les formats varient au gré des sujets. Et leur prix est abordable.
Ici c'est un Paris plus classique qui nous est offert, un Paris que l'on croyait connaître : celui des écrivains.
Par ordre chronologique, de Balzac à Modiano, c'est toute l'évolution urbanistique de Paris qui nous est rappelée : les vieilles pensions balzaciennes, les scandales des percements haussmanniens, la Tour Eiffel, le café de Flore. Nous visitons les rues à la recherche des domiciles des écrivains, dont le plus merveilleux est sans aucun doute celui de Colette au Palais-Royal. Et nous croisons aussi bien Gervaise que les personnages de Modiano.
Les textes en français, traduits en anglais, sont accompagnés de nombreuses photographies et de reproductions de tableaux qui suscitent notre étonnement et notre rêverie. Comme le dit Ernest Hemingway « Paris n'a jamais de fin. »
Merci à Masse critique/Babelio et à Parigramme pour ce beau livre.
