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Critique de Napich
Voici un premier roman plutôt réussi qui fait la part belle à l'aventure, à la nature ainsi qu'à l'amitié.
Pierre, l'un des narrateurs a quitté son petit village de France pour découvrir ce continent démesuré où tout semble possible.
Vincent, parisien pure souche, a choisi l'Australie pour oublier sa rupture amoureuse. Ensemble, ils récupèrent un ancien corbillard transformé en van et rebaptisé "The Undertaker ". Ils partent ainsi, comme beaucoup d'autres, à la découverte de l'immense île du pacifique. Ils seront accompagnés un temps par la fougueuse et vibrante Elsa qui consume la vie pour oublier.
Récit initiatique où chacun trouvera au bout du compte, ce qu'ils étaient venus chercher sans le soupçonner.
A la lecture de ce roman, on échappe pas à quelques clichés mais l'écriture est sincère. Guillaume Besson aime ce pays et cela se ressent dans sa plume. On est conquis!
Pierre, l'un des narrateurs a quitté son petit village de France pour découvrir ce continent démesuré où tout semble possible.
Vincent, parisien pure souche, a choisi l'Australie pour oublier sa rupture amoureuse. Ensemble, ils récupèrent un ancien corbillard transformé en van et rebaptisé "The Undertaker ". Ils partent ainsi, comme beaucoup d'autres, à la découverte de l'immense île du pacifique. Ils seront accompagnés un temps par la fougueuse et vibrante Elsa qui consume la vie pour oublier.
Récit initiatique où chacun trouvera au bout du compte, ce qu'ils étaient venus chercher sans le soupçonner.
A la lecture de ce roman, on échappe pas à quelques clichés mais l'écriture est sincère. Guillaume Besson aime ce pays et cela se ressent dans sa plume. On est conquis!
