>
Critique de Jmolo
Oh My God ! Quel charabia...
Écouter Jane Birkin durant quelques minutes d'interview peut être charmant, son accent, ses fautes de français, ses divagations, ses bons sentiments...
Mais la lire pendant plus de 500 pages (et ce n'est que le tome I...) relève tout simplement de l'exploit ! Quelques lecteur.trice.s y sont-ils parvenu.e.s ? Je me permets d'en douter !
Les souvenirs sont brouillons, s'entrecoupent, partent dans tous les sens, le journal du passé se mélange avec les reflexions au présent, sans que l'on parvienne toujours à les distinguer, mettant en doute la véracité de ces "diaries" sans grand intérêt.
Mais le pire est que le capital sympathie indéniable de Jane Birkin est ruiné par ces révélations intimes dont elle aurait pu s'abstenir !
On connaissait la femme généreuse, un tantinet "cucuche", voire "nunuche", trouvant tout et tout le monde , le pire comme le meilleur, "sweet", mignon, joli, charmant...
On découvre la femme hystérique, nymphomane, alcoolique, suicidaire... au point de se demander si ce n'est pas elle la plus maléfique dans ses différents couples !
Mais les plus à plaindre ne sont pas les "poor" lecteurs qui tomberont par hasard sur ce journal courageux de Jane Birkin, mais ses "poor children" qui n'ont, d'ailleurs, aucunement l'envie de le lire !
Bon courage à ceux et celles qui liront le tome II...
Écouter Jane Birkin durant quelques minutes d'interview peut être charmant, son accent, ses fautes de français, ses divagations, ses bons sentiments...
Mais la lire pendant plus de 500 pages (et ce n'est que le tome I...) relève tout simplement de l'exploit ! Quelques lecteur.trice.s y sont-ils parvenu.e.s ? Je me permets d'en douter !
Les souvenirs sont brouillons, s'entrecoupent, partent dans tous les sens, le journal du passé se mélange avec les reflexions au présent, sans que l'on parvienne toujours à les distinguer, mettant en doute la véracité de ces "diaries" sans grand intérêt.
Mais le pire est que le capital sympathie indéniable de Jane Birkin est ruiné par ces révélations intimes dont elle aurait pu s'abstenir !
On connaissait la femme généreuse, un tantinet "cucuche", voire "nunuche", trouvant tout et tout le monde , le pire comme le meilleur, "sweet", mignon, joli, charmant...
On découvre la femme hystérique, nymphomane, alcoolique, suicidaire... au point de se demander si ce n'est pas elle la plus maléfique dans ses différents couples !
Mais les plus à plaindre ne sont pas les "poor" lecteurs qui tomberont par hasard sur ce journal courageux de Jane Birkin, mais ses "poor children" qui n'ont, d'ailleurs, aucunement l'envie de le lire !
Bon courage à ceux et celles qui liront le tome II...
