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Critique de saomalgar
Le nouveau Blondel, c'est toujours un petit événement que l'on attend avec impatience et celui-ci ne fait pas exception à la règle. Déjà, la magnifique couverture donne terriblement envie de plonger dans cet univers, on le comprend en lisant le titre, de la danse.
Anaïs, Adrien et Sanjeewa ont tous les trois choisi l'option Danse au lycée mais pour des raisons très différentes, c'est là qu'ils vont se croiser, s'aimer, se déchirer, se compléter.
Cette histoire à trois ressemble à "Jules et Jim" et plus près de nous à "3000 façons de dire je t'aime".
Adrien, jeune campagnard vit la danse de façon instinctive, dans la violence, la brusquerie, comme s'il s'agissait d'une question de survie.
Anaïs, ancienne gymnaste déchue, se raccroche à la danse avec application, comme à une béquille.
Et Sanjeewa, jeune immigré Srilankais a la danse dans le sang, c'est pour lui presque une religion, une façon de vivre.
Chacun avec ses blessures, sa famille à soutenir pour les uns, une carrière brisée pour l'autre, un déracinement, sont des ovnis mais avec une force de caractère incroyable. Et ce qui est beau, c'est qu'ils se bonifient, les uns au contact des autres, à deux tout d'abord pour à trois.
Ils sont comme l'air, l'eau et le feu, indispensables les uns aux autres et pourtant si différents.
Un roman troublant par la beauté des sentiments. Un roman d'actualité aussi, car parlant de migration, de fuite, de repression et de ghettoïsation. Un roman ancré dans le présent parlant de danses actuelles, comme le hip hop.
Des passages magnifiques sur le mouvement et les sensations des danseurs.
Un roman que l'on regarde !
Anaïs, Adrien et Sanjeewa ont tous les trois choisi l'option Danse au lycée mais pour des raisons très différentes, c'est là qu'ils vont se croiser, s'aimer, se déchirer, se compléter.
Cette histoire à trois ressemble à "Jules et Jim" et plus près de nous à "3000 façons de dire je t'aime".
Adrien, jeune campagnard vit la danse de façon instinctive, dans la violence, la brusquerie, comme s'il s'agissait d'une question de survie.
Anaïs, ancienne gymnaste déchue, se raccroche à la danse avec application, comme à une béquille.
Et Sanjeewa, jeune immigré Srilankais a la danse dans le sang, c'est pour lui presque une religion, une façon de vivre.
Chacun avec ses blessures, sa famille à soutenir pour les uns, une carrière brisée pour l'autre, un déracinement, sont des ovnis mais avec une force de caractère incroyable. Et ce qui est beau, c'est qu'ils se bonifient, les uns au contact des autres, à deux tout d'abord pour à trois.
Ils sont comme l'air, l'eau et le feu, indispensables les uns aux autres et pourtant si différents.
Un roman troublant par la beauté des sentiments. Un roman d'actualité aussi, car parlant de migration, de fuite, de repression et de ghettoïsation. Un roman ancré dans le présent parlant de danses actuelles, comme le hip hop.
Des passages magnifiques sur le mouvement et les sensations des danseurs.
Un roman que l'on regarde !
