Sans-Atout contre l'homme à la dague

Pour rajouter à mon supplice, ma prof de première secondaire, qui nous avait déjà fait lire un Sans Atout, nous en a collé un deuxième. J'avais modérément aimé le premier, tout simplement parce que je n'aimais pas lire. Ceci dit, 12 ans après cette lecture, je ne suis toujours pas emballée par les policiers. Les enquêtes, les fausses pistes, les faux coupables… Bof.

Je ne me souviens plus non plus de cette histoire, comme de la première, mais je me souviens de la prof de français. Elle était notre titulaire mais n'a passé avec nous que quelques jours. Malade toute l'année scolaire. Et le peu de temps qu'elle était là, elle a réussi à nous refourger un policier pour enfants… Ca avait presque représenté la fin du monde pour moi ! Une catastrophe encore plus grave que le fait que mes Barbies restaient seules à la maison quand je devais aller à l'école.