>
Critique de Aupaysdejenny
Nous rencontrons Peter Wolf, l'affaire est plutôt simple, Peter est “nettoyeur”.
Point question de balai-vapeur ou de Monsieur Propre, notre Peter est tueur à gages à Vancouver.
L'auteur le veut physiquement agréable (point de vue relatif, je vous l'accorde), dans un confort financier et matériel et plus que décomplexé sexuellement (si on peut nommer ça “décomplexé”).
Sur le papier, l'intrigue était intéressante, un frère qui se rend à la morgue pour identifier sa jeune soeur qu'il n'a retrouvé que depuis peu de temps et quand il apprend les raisons de sa mort, il se dit que quelque chose n'est pas clair.
Et il a raison.
Peter décide de mener son enquête pour tenter de comprendre ce “détail” qui cloche.
Voilà, ça aurait pu être intéressant…
Mais ça se corse pour moi, dans un premier point, au niveau du style d'écriture que je trouve assez déplaisant à la lecture.
BDSM, cannibalisme, nécrophilie, violences sexuelles à PROFUSION, toutes les cinq lignes, aurait-il fallu doser un peu???
Que dire de plus? Rien.
Dire que je n'ai pas aimé cette première immersion dans les contes interdits serait bien modeste, j'ai détesté ce roman.
Ni plus, ni moins.
Point question de balai-vapeur ou de Monsieur Propre, notre Peter est tueur à gages à Vancouver.
L'auteur le veut physiquement agréable (point de vue relatif, je vous l'accorde), dans un confort financier et matériel et plus que décomplexé sexuellement (si on peut nommer ça “décomplexé”).
Sur le papier, l'intrigue était intéressante, un frère qui se rend à la morgue pour identifier sa jeune soeur qu'il n'a retrouvé que depuis peu de temps et quand il apprend les raisons de sa mort, il se dit que quelque chose n'est pas clair.
Et il a raison.
Peter décide de mener son enquête pour tenter de comprendre ce “détail” qui cloche.
Voilà, ça aurait pu être intéressant…
Mais ça se corse pour moi, dans un premier point, au niveau du style d'écriture que je trouve assez déplaisant à la lecture.
BDSM, cannibalisme, nécrophilie, violences sexuelles à PROFUSION, toutes les cinq lignes, aurait-il fallu doser un peu???
Que dire de plus? Rien.
Dire que je n'ai pas aimé cette première immersion dans les contes interdits serait bien modeste, j'ai détesté ce roman.
Ni plus, ni moins.
