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Critique de Vermeer
Portrait de l'écrivaine Anne-Laure Bonboux et d'une femme en général "en maillot de bain" c'est-à-dire pas nue mais qui se dévoile.
A l'occasion de la révélation d'un secret familial (le transgénérationnel que l'on porte en nous) et de son divorce, elle qui s'était toujours pensée lumineuse, cohérente, gaie, forte, découvre une part plus sombre, plus tourmentée d'elle-même.
Une dépression et une impossibilité à écrire l'amènent à réfléchir sur elle-même, sur son enfance et sur l'écriture, sur le pourquoi de l'écriture.
L'événement est détruit par le livre car l'écriture établit une distance entre la narration et la réalité.
Elle découvre ainsi sa véritable vocation : écrire pour nommer ce qui n'a pas de nom, plonger dans les abysses, pour nommer les fantômes.
Une très belle réflexion sur le passé, l'enfance, la famille et l'écriture.
A l'occasion de la révélation d'un secret familial (le transgénérationnel que l'on porte en nous) et de son divorce, elle qui s'était toujours pensée lumineuse, cohérente, gaie, forte, découvre une part plus sombre, plus tourmentée d'elle-même.
Une dépression et une impossibilité à écrire l'amènent à réfléchir sur elle-même, sur son enfance et sur l'écriture, sur le pourquoi de l'écriture.
L'événement est détruit par le livre car l'écriture établit une distance entre la narration et la réalité.
Elle découvre ainsi sa véritable vocation : écrire pour nommer ce qui n'a pas de nom, plonger dans les abysses, pour nommer les fantômes.
Une très belle réflexion sur le passé, l'enfance, la famille et l'écriture.
