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Critique de esmeraldae


Marc Deleuze, DRH de la Maison, découvre un beau matin son bureau vidé. La porte a été déposée. Il ne reste plus que la moquette. Décidé à ne pas céder, il va vivre des mois de jouissive résistance face à l'hostilité, l'indifférence et l'embarras de ceux et celles qui furent ses collègues au sein de la direction du groupe. On veut l'ignorer mais lui observe tout, d'un oeil lucide et féroce. Chaque jour il s'installe entre ses quatre murs, seul avec la chaise en PVC qu'il a dégotée non sans mal au sous-sol.
Dans son bureau vide, sans téléphone, il lit le journal ou fait balcon, à califourchon sur sa chaise, devant le couloir qui traverse la direction générale où Numéro Un a remplacé, à la faveur d'une OPA, son ami Bertrand.
Narguer est un exercice captivant mais accaparant. le désoeuvrement ne s'improvise pas non plus ; il exige une véritable organisation. Mais une fusion peut en cacher une autre…

"La résistance est un plat qui se mange chaud, mais qui n'est pas à l'abri d'un refroidissement".

Il ne faut s'attendre à rien avec ce roman. Censé faire rire (jaune) ou au moins sourire, il n'a pas réussi avec moi. Je comptais cruellement les pages qu'il me restait pour abréger ma souffrance. Bon j'exagère un peu mais la lecture n'a pas été plaisante.

Le roman parle d'une forme de dictature, du pouvoir au bureau mais aussi politique. Marc va être viré mais continué à être payer pendant ce temps. Il squatte le bureau et pourtant personne n'use de la force pour le faire partir mais les gens espèrent quand le faisant paria ils se débarrasseront de lui.

Même en parler m'est difficile donc le mieux faites vous votre propre opinion?!

Lien : http://laccrodeslivres.canal..
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