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"La fourrure de la taupe évoque fortement le velours, en raison de son implantation particulière. Ses poils, très souples et très denses, sont en effet perpendiculaires à la peau, à la différence des autres mammifères, chez qui ils ont toujours un sens. Cette particularité lui permet de faire marche arrière si nécessaire, sans être bloquée." (12)
Sous le coup de l'enthousiasme pour le petit livre vert consacré aux limaces, j'ai poursuivi ma route chez les taupes. Je n'ai pas particulièrement affaire à elles, mais tout animal de nos contrées est bon à connaître, surtout quand il est susceptible de fréquenter mon potager. Du reste, l'ouvrage semble plus consacré à l'infortuné et souvent fort peu malin bipède qu'aux susdites bestioles poilues. Philippe Bonduel use d'une gentille ironie qui instille le doute sur la plupart des méthodes exposées. le lecteur qui voudrait réellement trouver une solution contre les envahisseurs refermera le livre un peu dépité, mais certes déniaisé. Plaisant sans plus, je trouve le ton enjoué assez forcé. le genre de livre vain qui n'existe que pour remplir une ligne éditoriale.
Critique de Floccus
"La fourrure de la taupe évoque fortement le velours, en raison de son implantation particulière. Ses poils, très souples et très denses, sont en effet perpendiculaires à la peau, à la différence des autres mammifères, chez qui ils ont toujours un sens. Cette particularité lui permet de faire marche arrière si nécessaire, sans être bloquée." (12)
Sous le coup de l'enthousiasme pour le petit livre vert consacré aux limaces, j'ai poursuivi ma route chez les taupes. Je n'ai pas particulièrement affaire à elles, mais tout animal de nos contrées est bon à connaître, surtout quand il est susceptible de fréquenter mon potager. Du reste, l'ouvrage semble plus consacré à l'infortuné et souvent fort peu malin bipède qu'aux susdites bestioles poilues. Philippe Bonduel use d'une gentille ironie qui instille le doute sur la plupart des méthodes exposées. le lecteur qui voudrait réellement trouver une solution contre les envahisseurs refermera le livre un peu dépité, mais certes déniaisé. Plaisant sans plus, je trouve le ton enjoué assez forcé. le genre de livre vain qui n'existe que pour remplir une ligne éditoriale.
